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 Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam)

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Destiel Shurley
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MessageSujet: Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam)   Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam) EmptyLun 2 Fév - 23:36







Je passe une main dans mes cheveux, tiens c'est quoi ça ? Mes cheveux. Super. Je déglutis et les balance dans la poubelle. Je doute que le cafard baveux, vienne faire les poubelles, quoiqu'avec lui on ne peut être sur de rien. Je viens une nouvelle fois de vider mes tripes. Mes cotes me brûlent. Je pose ma tête sur le carrelage, restant là un petit moment. Le froid parcours ma peau et ça me fait du bien. Je suis brûlant, mais là je vais mieux. Du moins la douleur passe, je fermes les yeux un cours instant. Là je suis bien. Personne pour me faire chier. Je savais qu'en rejetant le traitement j'allais douiller. J'étais préparé, de toute façon je compte pas tenir bon cette fois. Soyons honnête, si j'ai tenu la première fois, c'est parce qu'il était là. Qu'il m'a dit les mots pour me convaincre, j'avais ces deux traites à mes côtés. Là j'ai quoi ? Eux qui reviennent, peu de temps après que ce putain de cancer revienne. Coïncidence ? Destin ? Foutaise ouais ! Je crois pas en ces conneries. Je sais juste que cette fois, c'est la bonne ! La porte tape. Wait. Depuis quand la porte est vivante. « BEEEEH ! » Ah bah non, c'est ma fifille qui me signale de sa présence. Il falloir que je me relève, on va y aller en douceur. Oh bah non on va attendre un peu. Ah bah tiens c'est quoi ça ? « Jt'ai déjà dit que t'as pas l'droit de venir ici ? Et si j'étais sous la douche ! T'as songé à ça. » Elle passe son nez au dessus de mon visage. Heureusement qu'elle sent bon de la gueule, sinon elle serait moins attirante. Elle resterait ma chérie, mais juste moins sexy. Je la vois qui fouille. « Y a rien pour toi ici. » Et voilà qu'elle revient vers moi. Elle pose ses sabots sur mon torse. Je grimace. « Tu pourrais y aller en douceur bibiche ! » Elle n'y va pas par quatre chemin, ça c'est sûr ! Elle fonce dans le tas et là mes côtes le sentent. Sa tête vient se poser près de mon épaule. Et voilà qu'elle souffle, non qu'elle me souffle à la gueule. Je ne sais pas comment je dois prendre ça. Ah elle a de la chance que je l'aime. Je passe une main dans mes cheveux et caresse ma bibiche d'amour. Heureusement qu'elle est là. La seule qui ne m'a pas abandonné. Je l'ai toujours dit que les chèvres étaient des animaux fidèles. Il suffit de savoir les dompter. Moi je lui donne beaucoup d'amour et d'autres trucs. Si la spa ou le véto savaient la vérité, je doute qu'ils apprécient. Oh puis je m'en branle, c'est pas eu qui vont me dire comment éduquer ma chèvre ! Et puis quoi encore ! Je ne reçois d'ordre de personne ! PERSONNES ! Elle lève d'un coup sa tête, me donnant un coup dans le nez au passage. Tant de brutalité dans un petit corps. Et voilà qu'en plus elle me prend pour sa nouvelle carpette. J'aurai décidément tout vu ce soir. Elle a forcément dû entendre un bruit. « SHURLEY ? » Oh merde ! J'ouvre grand les yeux. J'avais complètement zappé qu'on était jeudi soir. Fin je crois qu'on est jeudi, je sais pas. En tout cas j'avais rendez-vous avec l'autre White ! Putain faut que je me bouge. Je perds un peu la notion du temps en ce moment, pas ma faute. Allez bouge ton cul Destiel avant que l'enfer frappe à ta porte « Tu fous quoi là ? » Trop tard ! Je lève la tête, elle me fixe. On peut pas dire que ma position soit des plus normal. Une excuse. « Des abdos mais comment te dire … j'ai abandonné et j'ai fini par faire une sieste. » Je me relève avec beaucoup de difficulté, mais on y voit que dal ! Je suis un bon acteur quand je m'y mets. « Non en vrai, je pensais tellement à toi que j'ai eu besoin de prendre une douche froide ! » Je lui fais mon plus beau sourire et un haussement de sourcil. Et paf, l'affaire et dans le sac. Je passe devant son petit cul et me dirige vers ma chambre. Il me faut un médicament, enfin un de mes médicaments. Je vais prendre quoi. Ah ça c'est bien. Un petit cachet miracle, blanc comme je les aime. Il est tout mignon, tout beau. Ouais ça va faire l'affaire. Dans quelques heures je planerai et tout sera top ! Tip Top ! Cul sec ! « T'as ramené ton jeu ? Histoire que je te foute une branlée ! » J'allume ma tv. Ouais on pourrait aller dans la salle, mais depuis le retour du cafard baveux, j'ai élu domicile dans ma chambre. J'ai donc embarqué la tv et la console. Pas folle la guêpe, on ne sait pas de quoi il est capable. Et puis j'ai envie de joué moi. Je craque mes mains tout en allumant la console. Je vois que mademoiselle s'affale dans mon lit. Vas-y fais comme chez toi. C'est pâquerette qui va être jalouse bientôt ! Faut que je boive un truc, j'ai un arrière goût dans la bouche. J'ai horreur de ça. Bon une bière. Je vais en ramener une à la grosse vache qui est affalée dans mon lit. J'ai comme l'impression qu'elle ne désire pas bouger son cul. Madame veut se faire servir. Pff ! Elle a de la chance, je ne suis pas encore en position pour lutter contre elle. Pas encore, mais ça ne serait tardé!



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Sam White
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MessageSujet: Re: Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam)   Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam) EmptyVen 6 Fév - 23:06







Ils vont prendre la ferme. J'ai du mal à penser à autre chose depuis que Reese m'a annoncée la nouvelle. Après être partie en trombe de son appartement, j'ai marché jusqu'à chez nous et j'ai demandé à papa de me montrer la lettre. On peut pas vraiment dire qu'il était ravi de répondre à ma demande mais même s'il a râlé que je ne devais pas m'occuper de ça et qu'il avait la situation en main, il a fini par me la donner. Moi le droit c'est pas vraiment mon truc. Pas du tout mon truc même, alors j'ai pas tout compris à leur jargon bureaucratique mais une chose est sûr c'était bien là. Marqué noir sur blanc. La ferme allait être saisie puis rasée pour laisser place à un complexe hôtelier. Un complexe hôtelier bordel de merde ! Comme si on avait assez de touriste pour en avoir besoin ! Faudrait être sacrément con pour vouloir venir passer ses vacances ici, en deux jours on a fait le tour de la ville. Et puis même s'il y avait assez de touristes, c'est même pas la question. De quel droit ils pensent pouvoir arriver comme ça avec leur grand air et leur lettre bien écrite pour foutre les gens à la porte ? De quel droit ils pensent pouvoir raser la ferme ? NOTRE ferme. Celle dans laquelle j'ai toujours vécu. Celle qui nous a vu grandir, moi, Dean, Aspen et Reese. Ça me rend malade leur connerie. Tellement dingue que j'en oublierais presque cette histoire avec Izabella. De toute manière c'est pas comme si elle allait vraiment revenir. Y a que Reese pour penser que cette fille en a quelque chose à faire de nous, je suis sûr qu'elle regardera vaguement l'affaire de loin et nous dira qu'elle peut rien faire pour nous. De toute manière je m'en cogne, on a pas besoin d'elle, qu'elle reste là où elle s'est planquée, ça me va très bien comme ça. En attendant j'ai pas dormis de la nuit avec tout ça. Je me suis tournée et retrounée dans mon lit comme une conne pendant des heures. Je vous racontes pas ma gueule au réveil. Heureusement que j'avais pas cours. C'est pour ça que j'ai décidé de sortir mon appareil photo. Dean est partie pour la fac, papa s'occupe de la ferme, ça veut dire que j'ai la maison pour moi toute seule. Et c'est exactement ce que je veux pour le moment. J'ai besoin d'immortaliser chaque parcelle de cette maison. J'ai besoin de capturer ce qui la rend vivante, chantante, vibrante de toute notre vie. Juste la maison. Pas nous. Pas le bruit qu'on fait dedans et la vie qu'on y apporte. Non. La vie qui y est même quand on est plus dedans. Les objets laissés en vrac, certain depuis des années, le reflet du soleil, l'agencement de meuble, tout ce qu'on a construit, petit à petit, jour après jour et qu'ils veulent à présent détruire. Ça m'occupe. Ça prend du temps. Les gens pensent parfois que la photo c'est juste appuyer sur un bouton, que tout le monde peut le faire. Faut dire que souvent les gens sont des cons. Avoir la bonne photo, celle qui transmet tout ce qu'on veut dire en une seule image, ça demande de la patience. Et c'est bien la seule activité où j'en ai justement, de la patience. Je me pose, j'observe et seulement quand je suis sûr de moi j’appuie sur ce putain de bouton. Je suis tellement concentrée sur ce que je fais que je ne vois pas le temps passer. C'est souvent comme ça quand je photographie, je suis dans mon monde, loin de tout, du temps, des gens. Il y a juste moi. C'est pourquoi je ne peux m'empêcher de sursauter quand j'entends la porte d'entrée s'ouvrir. Je jette un œil à ma montre pour me rendre compte que l'après-midi touche déjà à sa fin. Calmement je protège l'objectif de son cache et rage mon appareil dans son sac. Je vais d'un pas rapide jusqu'à ma chambre et y dépose mes affaires. Dean est à son entraînement jusqu'à tard ce soir, c'est donc mon père qui doit tout juste venir de franchir le pas de la porte. Et honnêtement je n'ai pas envie de me retrouver seule avec lui pour le moment. Je n'ai que la ferme en tête et lui aussi sûrement, sauf qu'on doit avoir autant envie d'en parler l'un que l'autre, alors... le plus simple est encore de foutre le camp plutôt que de se retrouver tous les deux dans un de ses silences gênants où personne ne veut parler et où on reste comme des cons à se regarder dans le blanc des yeux en attendant que le temps passe. Et puis on est jeudi, j'avais prévu de passer voir l'autre abrutie avec sa chèvre de toute manière alors autant y aller tout de suite. Au moins avec lui je n'aurais pas besoin de parler de ça et puis qui sait, il arrivera peut-être à me faire changer les idées. J'attrape dans mon étagère le jeu que j'ai promis de ramener et le fourre dans mon sac avant de dévaler l'escalier. « Je vais chez Destiel, m'attends pas pour manger. » Mon père me lance un vague acquiescement pour toute réponse. Vive la communication dans la famille, moi je vous le dis. En même temps j'insiste pas et prends la direction de chez Destiel sans rien ajouter de plus.

Arrivée devant chez lui, je ne prends même pas la peine de frapper et ouvre la porte en grand en criant son nom. « SHURLEY ? » Il a l'habitude de mes entrées fracassantes de toute manière et puis il sait très bien que je dois passer, il ne va sûrement pas être trop surpris et devrait donc éviter l'arrêt cardiaque. Bon certes, j'ai appris que Stuart était de retour et s'était réinstallé ici mais honnêtement, Stuart, je m'en fous. On se connaît tout les deux, c'est pas comme si j'allais le choquer, et je vais certainement pas changer mes habitudes pour lui. L'absence totale de réponse, de remarque sarcastique ou quelque autre manifestation de la part de l'abruti à la chèvre me fait hausser un sourcil. Même pâquerette ne vient pas jusqu'à moi pour fouiller dans mes poches. Pourtant Destiel ne manque jamais un occasion de me dire de fermer ma gueule et d'arrêter de hurler. Et pâquerette sait que je lui ramène toujours des pommes. Je parcours rapidement les pièces du bas puis monte l'escalier pour essayer de les trouver. Et je finis par le faire. Je les débusque tous les deux. Dans la salle de bain. L'autre énergumène allongé sur le carrelage, la chèvre sur le ventre. Je me penche au dessus de lui et plante mes yeux dans les siens. « Tu fous quoi là ? » On aurait été en plein été, sous un cagnard pas possible, je dis pas, ça aurait peu être une manière étrange de rechercher la fraîcheur. Mais là, franchement je vois pas. Personnellement je me pèle les miches alors pour le cagnard à faire pâlir les enfers on repassera. Peut-être qu'il a décidé de tester la vie de tapis de bain. Ça serait bien son genre. Ce mec est con. Mais bon c'est pas une grande nouvelle hein, je vous l'avais sûrement déjà dit. « Des abdos mais comment te dire … j'ai abandonné et j'ai fini par faire une sieste. » Il se redresse péniblement et honnêtement je serais presque tentée de croire son explication. Je suis sûr que ce mec arriverait à attraper des courbatures, juste après un demi abdo. Messieurs, dames, je vous présente  "l'homme" - notez les guillemets - le moins sportif du monde. Non, vraiment, un vrai loque, z'avez qu'à voir comment il est rachitique pour me croire sur parole. Et ça date pas d'aujourd'hui, déjà gamin, il était pas foutu capable de courir plus de trente secondes sans s'arrêter. Ça a déjà failli lui coûter la vie ces conneries. Non pas qu'il est faillit se faire renverser par un camion à cause de son manque de réflexes, mais parce que j'ai sérieusement envisager de lui envoyer ma batte de base-ball dans la gueule à de mainte reprises. Enfin, avec le recul, je suis plutôt contente de pas l'avoir fait, mais il est quand même pas passé loin. « Non en vrai, je pensais tellement à toi que j'ai eu besoin de prendre une douche froide ! » J'envoie mon pieds valser contre ses côté – pas trop fort, je voudrais pas lui faire mal. « Pervers. » Et le laisse passer devant moi une fois qu'il est enfin sur ses pieds. Pâquerette le suit de prêt et quand elle passe à côté de moi, je lui donne la pomme que j'ai amené pour elle et suis monsieur muscle jusqu'à ce chambre. « T'as ramené ton jeu ? Histoire que je te foute une branlée ! » Je m'écroule sur son lit et lance à mes pieds la jeu que j'ai pris avec moi, pendant que Destiel s'occupe de mettre en marche l'électronique. « Tss arrêtes de baver de la merde, tu vas encore te prendre une bonne grosse défaite dans ta gueule et tu vas pleurer. » Parce que Monsieur croit qu'il peut me battre à mon propre jeu. Je les tellement testé dans tout les sens que je suis imbattable. Il croit que je fous quoi de mon temps libre hein ? Oui bon d'accord je fais pas que ça mais ça fait tout de même partie de mes source de divertissement. Les jeux de baston, ça change les idées, j'aime bien. Et puis c'est pas une grande nouvelle de dire que je suis une mauvaise perdante. Certain pense que c'est un défaut. Mais moi je vous le dis, c'est une putain de qualité. J'aime tellement pas perdre que je fais tout pour être la meilleure. C'est comme ça que j'ai appris la persévérance et l'acharnement. Et oui. « Et je te l'ai déjà dit mon petit, un mec qui pleure, ça n'a rien de bien sexy. Continue comme ça et tu vas devoir continuer à prendre des douches froides quand tu penseras aux filles parce qu'aucune d'elle ne voudra jamais de toi. » Dur ? Peut-être un peu. J'ai jamais dit que j'étais un ange. Personne à jamais dit que j'étais un ange. Et puis je suis juste réaliste. De toute manière, lui avec sa chèvre, j'ai pas vraiment l'impression qu'il s'intéresse au fille finalement. Je l'ai jamais vue avec une en tout cas. Et ça me va très bien comme ça. Pas que je sois intéressée, non, non. Juste que comme ça je l'ai à disposition quand je veux jouer au jeux vidéo ou juste passer le temps. C'est toujours bien d'avoir quelqu'un à disposition pour ça. En plus il me ramène une bière, vous voyez, très utile ce garçon, pas besoin de le distraire avec des filles. Destiel vient s'affaler à mes côtés et je lui balance sur le ventre l'une des manettes que j'ai attrapé sur le lit. Je fais rapidement défiler les personnages pour choisir celui que je veux jouer et en même temps je tends ma bière vers Destiel. « Tu peux l'ouvrir. s'te plait. » Z 'avez vu ? Je peux être polie quand je veux. C'est surtout que j'arrive pas à décapsuler les bières avec mes dents et que j'ai pas de décapsuleur à porter de main alors si je veux pouvoir boire un coup, faut bien que je fasse un effort. « Pâquerette a encore été ta seule source de sociabilisation aujourd'hui ou t'as décidé de parler à ton charmant coloc' finalement ? » Ouais je m'intéresse à sa vie. Ça m'arrive. Des fois. C'est toujours mieux que de penser à la mienne en ce moment. Non, je veux garder la ferme loin de mes pensés et pour ça, je préfère encore lui poser des questions auxquelles il détestera répondre. Le retour de Stuart est loin de le ravir et j'aime bien le faire chier que voulez vous.


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MessageSujet: Re: Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam)   Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam) EmptyDim 8 Fév - 18:40







Sam, Sam, Sam ! Ah qui aurait cru que cette petite chieuse prendrait autant de place dans ma vie. Oh ça oui elle en prend de la place, suffit de la voir affaler sur mon lit. Elle réquisitionne tout, genre ça lui appartient. Elle fume trop je crois, ou alors c'est de naissance. Je sais pas trop. Non, mais dans le fond elle n'est pas si méchante que ça. Suffit juste de s'habituer au fait que ça soit la pire chieuse qu'il puisse exister sur terre. De mémoire je me rappelle pas connaître une nana plus chiante qu'elle. Bon en même temps, les nanas qui ont partagés mon lit, je leur tapais pas spécialement la discussion. Elle c'est un peu l'exception si on peut dire ça. Ouais on va dire ça. La petite exception qui s'accroche à ma vie. Je me demande pourquoi. Non, mais c'est vrai. Je suis un déchet ambulant. Je ne suis pas le mec le plus sociable de la terre, voir tout le contraire. Je me taire dans une dépendance, avec une chèvre. Je vis ma vie tranquillement, je fais chier personne, sauf si c'est nécessaire. Il est loin le temps ou je courais à poil dans la vie les soirs de pleines lunes. Oh oui c'est fini ce temps là ! Je me sens vieux d'un coup. Non je sais pas pourquoi elle s'inflige ça. Y a mieux comme distraction que moi et puis ce n'est pas comme-ci y avait un truc entre elle et moi… Fin j'en sais rien et je ne sais même pas pourquoi je pense à ça. Je mentirai en disant que ses visites ne me font pas du bien. Elle est la voix de l'extérieur. J'aime bien lorsqu'elle déboule et me raconte ses soirées. Il lui arrive toujours un truc à cette nana, c'est ouf ! Non elle est pas méchante, juste chiante. Une enquiquineuse de première. Miss je veux toujours avoir le dernier mot. Pour ça que je m'en fous pas mal de ce qu'elle me dit. C'est un truc entre elle et moi. Et étrangement ça le fait réagir. Pourquoi j'en sais rien. Le fait que je réagis pas, ça la fait réagir. Quand je dis qu'elle va bien pas. Ça doit vraiment être un truc de naissance. Un jour, je lui demanderai si elle a songé à consulter. Je lui passe sa bière et prend place à ses côtés. Ah là on est bien ! La manette poser sur mon torse, je regarde le générique du jeu qui défile. C'est pour ça que j'écoute qu'à demi mot ce qu'elle me dit. Elle est un peu comme un bruit de fond pour moi. Une musique, mais pas du genre classique. Non un bon vieux rock voir métal, qui vous donnes parfois des migraines. Le truc qui bien chiant par moment. Ouais du Sam White quoi ! Elle devrait penser à faire sa propre berceuse, ouais parce que des fois elle m'endort. Ce qui l'énerve. A dire vrai, je me demande ce qui l'énerve pas ! Tout l'inverse de Pâquerette, qui est si calme. Tiens elle vient se poser au bout du lit, entre les pieds de la naine et moi. Pâquerette c'est ma fifille à moi. Mieux qu'un chien, bien mieux qu'un chat et encore mieux qu'une nana. Et je rassure toutes les personnes qui ont des intentions ou des idées mal placés, il ne se passe rien de physique entre ma fifille et moi. Faudrait être complément fou ! Je ne suis pas de ce genre là, Pâquerette, c'est pâquerette et j'emmerde les gens qui la critiquent non mais ! J'attrape ma clope et l'allume au passage tout en prenant bien ma place. Ah ouais là c'est top. Je la regarde choisir son personnage. Voyons voir ce qu'il y a de bien dans ce jeu. Elle va encore me piquer une crise si elle gagne pas. Ouais c'est une très mauvaise perdante, pour ça que des fois je la laisse gagner. Puis moi en soit je m'en fous de gagner ou perdre. C'est pas ça le but dans la vie. « Tu peux l'ouvrir. s'te plait. » Je tourne la tête et on dirait presque le chat potté ! Je dis bien presque. Cette nana a le diable au cul, il faut se méfier des apparences. Elle sait juste avoir le monde. Je pose ma manette et attrape sa bière. Je la pose sur le rebord de ma table de nuit et d'un coup je débloque et envoie valser le couvercle. « Madame est servie. » lui dis-je en tendant sa bière. Elle me l'attrape des mains avec ce sourire de gagnante. J'aime bien quand elle a ce sourire. Je sais pas pourquoi. Je préfère cette tête là que l'autre. Là elle est calme, ce qui est bien mieux. Ouais elle est du genre violente, suffit de voir son entrée de tout à l'heure. Je sens encore la douleur dans mes côtes. Le truc c'est que comme la plupart du monde qui m'entoure: elle ne sait pas. Elle ne sait pas qu'en ce moment la douleur est triple. Du coup je douille. Une nana me frappe et je douille. Où va le monde. Je me le demande. Alala ! Quand je dis que c'est bientôt la fin. Enfin bref pour l'heure, je dois lui mettre une piquette à son jeu, dont elle s'est largement entraînée. Je lui ferais pas le plaisir de voir mon visage de décomposer si je perds. Ouais j'avoue que je fais toujours une tête étrange quand je perds. Du genre WHAT DA PHOQUE ! Faut dire que je comprends pas toujours tout et quand je perds ce n'est guère mieux. Elle doit manigancer des trucs avec les concepteurs. Fin en attendant quand elle gagne, elle est de bonne humeur, soit bon point pour moi et mon corps !

Voilà j'ai trouvé mon personnage. Un petit truc machin chose, dont j'ignore l'espèce, mais en attendant il est bien. Il reflète mon état du moment. Hop l'affaire est dans le sac. Je ne suis pas du genre à prendre le gros baraque dont ses muscles sont près à éclater à la première aiguille qui se pointe. Gros cliché ! Et dire que ça plaît à la gente féminine, je n'en vois pas l'intérêt. Moi j'aime bien les petits trucs, pas tout mignon, mais tout étrange. Les trucs dans mon genre. « Pâquerette a encore été ta seule source de sociabilisation aujourd'hui ou t'as décidé de parler à ton charmant coloc' finalement ? » Je tire une nouvelle taffe et pose la cendre dans le cendrier. Bon faut choisir le terrain. Je la faire, honneur aux dames. « Ouais bah tu me connais. » En soit ça veut dire que j'ai pas vraiment écouté ce qu'elle vient de dire. On rembobine. Wait ! Elle a pas parlé de l'autre cafard baveux ? C'est quoi le délire en ce moment, pourquoi tout le monde semble vouloir me faire parler.« Pas vraiment, j'parle pas aux cafards ! » Et hop j'en profite pour choisir l'univers. Je pose la console et prend une gorgée de ma bière. « Puis y a le moustique qui a refait surface, rien de très passionnant. » Une nouvelle gorgée et je pose la bière. Je tire sur ma clope et le regarde. « Tu sais bien que tu es mon autre source principale de sociabilisation ma chère ! Je me demande même ce que je ferais sans vous et vos prodigieux conseils ! » Ouais elle aime bien me faire chier, mais moi aussi et ça depuis fort longtemps. Déjà à l'époque ou elle portait des tresses, j'adorai la rendre chèvre. Elle me courait après en disant qu'elle allait me tuer. Seulement elle l'a jamais fait. J'sais pas si c'est par pitié ou par flemme. En attendant elle est sur mon lit et on joue drôlement bien. C'est un peu notre rituel du jeudi soir. « Bon et toi, qu'est-ce que t'as fait comme connerie lors de ta dernière soirée. » Bah oui j'aime bien avoir l’actualité de sa vie et de ses conneries surtout. Faudra pas qu'elle compte sur moi pour aller la voir en prison. Visite conjugal pas trop mon truc. « Bon alors t'es prête ou tu veux qu'on cause autour d'un thé ? » Je lui fais un grand sourire, l'air de dire, c'est pour aujourd'hui ou demain ?!

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MessageSujet: Re: Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam)   Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam) EmptyDim 15 Fév - 19:46







« Ouais bah tu me connais. » Réponse typique. Du grand Destiel Shurley. Du genre qui veut dire cause toujours tu m'intéresses. J'ui pas dupe, ça fait un bail que je le fréquente maintenant le lascar, on me l'a fait pas à moi. Ça, c'est le genre de phrase qu'il me sort quand je parle dans le vide. Ce qui arrive beaucoup trop souvent à mon goût. A croire qu'il me prend pour Madame Johnson. Prof attitré à Spring Garden depuis 1880 au moins, à se demander s'ils voulaient pas quelqu'un qui ai vécu l'histoire pour nous la raconter. La femme la plus ennuyeuse qu'il m'ait un jour été donnée de rencontrer. J'ai jamais réussi à suivre un de ses cours sans m'endormir sur ma table. Et honnêtement quand je vois l'intérêt que me porte Shurley par moment, je me dis que je dois le passionner autant que cette vieille chouette. Sauf que je date pas du siècle dernier et que je suis formidable, il n'a donc aucune excuse pour ne pas me prêter attention. Ça a tendance à me foutre en rogne. Comme un peu prêt tout et n'importe quoi certes mais tout de même, il pourrait faire un effort. Je jette sur lui un regard de profond dépit, pendant qu'il reste là comme un con à fixer l'écran sans se rendre compte du jugement que je porte sur sa petite personne. Enfin je vois bien qu'y a son cerveau qui turbine en haut. Ses neurones qu'essayent de faire le rapprochement entre ce que je lui ai dit et la réalité qui l'entoure. Du style hey, mec on te parle en bas, essaye de focus un peu. Et l'éclaire de compréhension fini par venir pendant que je vois ses sourcils qui se fronce. « Pas vraiment, j'parle pas aux cafards ! » Au moins là, je sais qu'il a finit par entendre ce que je lui ai dit, y a un minimum de concordance entre la question et la réponse. Enfin... si cafard est le doux surnom qu'il donne à Stuart parce que sinon il est entrain de me parler de ses nouveaux animaux de compagnie et on est pas du tout sur la même longueur d'onde. Mais bon, il est bien du genre à donner des surnom affectueux dans ce genre là aux gens alors je crois qu'on est bon. Parce qu'on me dit souvent que j'ai la rancune tenace mais si on mettait en place un concours sur la question, croyez moi qu'avec l'autre loque à côté de moi, la concurrence serait rude. Je dis pas vraiment qu'il est pire que moi mais on doit pas être loin d'une égalité sur le sujet. Pour ça que je le juge pas d'ailleurs. Personnellement j'ai rien à reprocher à Stuart mais si Destiel veut lui rendre la vie impossible... Soit. Chacun ses combats n'est-ce pas ? « Puis y a le moustique qui a refait surface, rien de très passionnant. » J'arque un sourcil en lui jetant un regard interrogatif mais monsieur est trop occupé à choisir le terrain de jeu pour me prêter attention. Je connais pas de moustique moi. Les seules que j'appelle moustique c'est les gosses de ma frangine parce qu'ils sont incroyablement petits. Mais je doute que Destiel face référence aux enfants d'Aspen. Ferait-il référence à d'autre enfant ? Peut-être qu'il a un gamin caché ? Non laissez moi rire, Destiel avec un gosse ça serait la meilleure de l'année. Juste à imaginer la chose, c'est hilarant. Enfin sauf pour l'infortuné enfant, lui je suis pas sur qu'il trouverait ça drôle. Ou la mère. Mais pour moi, ça serait quand même plutôt une bonne blague.Cela étant il ne semble pas très enclin à approfondir sur le sujet alors je me contente d'oser les épaules et de suivre son mouvement quand il prend une gorgée de sa bière. « Tu sais bien que tu es mon autre source principale de sociabilisation ma chère ! Je me demande même ce que je ferais sans vous et vos prodigieux conseils ! » Bien sûr c'est du foutage de gueule mais hey ! Pas comme si ça m'atteignait vraiment. Et puis foutage de gueule ou pas, je suis vraiment l'une de ses rares sources de sociabilisation. Sérieusement ce mec s'est doucement mais sûrement transformé en ermite. Il venait aux soirées pourtant avant mais depuis peu il semble avoir renoncé à tout contact humain si ce n'est avec moi. Et ça sœur, parfois. J'ai vaguement essayer de le pousser à sortir de nouveau mais il n'a aucun volonté alors j'ai laissé tomber. S'il veut rester là avec sa chèvre, grand bien lui fasse après tout. C'est juste la preuve que mes prodigieux conseils lui passe très largement au dessus de la tête. « Tu serais sacrément dans la merde, voilà ce que tu ferais. » Il ne reconnaît peut-être pas mon utilité et dit ça pour rigoler mais il est de mon devoir de lui rappeler la triste vérité. Il serait perdu sans moi, voilà tout. Principalement parce que je suis parfaite, adorable, formidable... Ou pas. En fait principalement parce que parler uniquement à une chèvre ça mène très vite à la folie si vous voulez mon avis. Même si pâquerette est adorable, elle n'est pas très forte pour faire la conversation, elle est plus douée pour écouter qu'autre chose que voulez-vous... Destiel à ma droite tire une bouffée de sa cigarette et l'odeur me fait penser que j'en fumerais bien une moi aussi. Sauf que j'ai pas pris mon paquet. Enfin c'est pas vraiment un obstacle ça, n'est-ce pas ? Je m'étale sans aucune gène sur le torse de Destiel pour permette à ma main d'attraper les cigarettes qu'il garde à ses côtés sur la table de chevet. J'en tire une du paquet et dans la foulé lui enlève la sienne de la bouche pour appliquer le bout incandescent contre la mienne. Puis je reprends ma place à sa gauche comme si de rien n'était. Le jeu se lance et on s'acharne chacun sur notre manette pour envoyer des coups dans la gueule de l'autre. « Bon et toi, qu'est-ce que t'as fait comme connerie lors de ta dernière soirée. » Je plisse les yeux, concentrée sur le jeu et je lui envoie deux kicks bien placés avant de prendre le temps de répondre à sa question pendant que mes doigts continuent à s'agiter sur la manette. S'il croit que ses questions vont m'empêcher de lui foutre un branler, il se fourre le doigt dans l’œil et bien profond. « Si tu venais en soirée au lieu de jouer au dépressif, j'aurais pas besoin de te raconter. » Ouais, d'accord, j'ai pas tout à fait renoncé à l'idée de le faire revenir en soirée. Que voulez-vous je suis du genre têtu. Et puis une petite piqûre de rappel de temps en temps, ça peut pas faire de mal. J'y peux rien, j'aimerais bien le voir sortir de temps en temps. Pouvoir le faire chier en présence d'autre personne, ça rajouterait un peu de joie à ma vie. Quand il n'était pas aussi solitaire, on se marrait quand même pas mal en buvant ensemble. Mais non, monsieur préfère sa chèvre et ses joints à de formidables moments passés en ma compagnie. « Sérieusement mec, tu loupe de pure truc. Y a même eu un concours de t-shirts mouillés l'autre soir. T'aurais été là, t'aurais pu t'astiquer avec d'autre image en tête que ce des magazines pornos en rentrant. » est-ce que je veux que Destiel sorte pour pouvoir baver sur la poitrine de connasse en manque d'attention ? Pas forcément non. Mais il paraît que ce genre de connerie attirent les mecs. Ça résume assez bien à quel point ils peuvent être primitif si vous voulez mon avis, mais passons. En vérité, c'est pas les t-shirts mouillés la plus grande perte de sa vie d'ermite. « Il y avait une soirée feu de camp samedi, un mec avait ramené des champis, sans déconner j'ai plané pendant toute la soirée, on a même failli foutre le feu à cette putain de clairière. Mais ça valait le coup. Juste pour voir Alan Goodrick courir dans tous les sens en étant persuadé que les lutin de la forêt voulaient le manger en dessert. Sérieusement, même dans ses tripes ce mec est teubé. » Est-ce que me foutre des malheurs des autres fait de moi, une vilaine fille ? Sûrement. Mais ma morale ne me permet pas vraiment de culpabiliser sur la question. On trouve du divertissement là où on peut. Et Alan Goodrick et sa stupidité font l'affaire la plus part du temps. Je suis sans cœur mais je le vis plutôt bien. Tout en parlant je continue à presser les boutons de ma manette, enchaînant les coups. Son personnage reçoit deux combos bien violent, avant de voler dans les airs et de retomber, K.O. Je me tourne vers Destiel, un grand sourire sur le visage. « C'est qui la meilleure ? Hein ? Hein ? Dis le, c'est qui la meilleure ? » J'aime qu'on vante mes qualités. Ne me jugez pas pour ça.

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MessageSujet: Re: Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam)   Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam) EmptyMar 17 Fév - 22:42






Je sais que dans mon genre, je suis assez con. Parfois trop con, mais pas dans le genre, trop bon, trop con. Non moi dans le sens connerie et comportement. On a souvent dit que j'étais le petit con de la famille Shurley. Je crois qu'on continue à le dire. La preuve, tout le monde revient pour le paternel. Il suffit qu'il soit sur son lit de mort que tout le monde rapplique. Excepté moi. Le moustique jure qu'il revient pour moi. Queneni ! Si la vieille bique l'avait pas appelé, il ne serait pas revenu. Donc voilà ! Je sais que je suis con. White me le dit souvent. Personnellement je le vis assez bien. Je préfère être ce genre de con, que l'autre genre de con. Moi je l'assume. Je ne suis pas un petit merdeux. Je l'ai été, mais c'était un autre genre de merdeux. Bon en fait, je suis un être venu d'ailleurs et puis c'est tout. Pour revenir à la White, ce qui est cool avec elle. C'est qu'elle n'insiste pas. Fin ça dépend sur quoi. Là par exemple, elle ne sait pas qui est le moustique. J'ai senti son regard de merlan fris sur moi. Pourtant elle n'a pas relevé, en me bombardant de question. J'avoue que le moustique, on ne peut pas savoir qui s'est. Je doute qu'elle se souvienne de mon frangin. Son cerveau étant pareil à celui d'un poisson rouge. Si elle m'entendait, je m'en prendrais plein les côtes. On va éviter, j'ai suffisamment mal comme ça. Bref j'en étais où ? Ah oui au poisson rouge, donc je doute qu'elle assimile les morceaux du puzzle. Et puis j'ai pas spécialement envie de parler de lui. Trop frais. Trop douloureux. Je sais que j'ai une manie de donner des surnoms d'insectes à tout le monde. Ce qui me fait penser que la White, n'a pas encore son petit surnom, rien que pour elle. Étrange pour une chiasse de son espèce. Enfin ce n'est pas bien grave. Je ne sais même pas pourquoi l'autre moustique est de retour. Pour me jouer un mauvais tour sûrement ça, voir probablement. La dernière fois il a fait conversation tout seul. Ça n'avait pas l'air de l'avoir dérangé. Moi en tout cas ça, m'a pas dérangé. Pour tout avouer, ça me dérange pas quand les gens parlent en fond, je suis tellement absorbé par mes activités que j'oublie leur présence. C'est souvent le cas avec la chiasse à mes côtés. Elle parle, je suis là, j'écoute, mais je soulève pas. A quoi bon ? Elle fait que râler, se plaindre et puis râler. Elle n'a pas beaucoup de fonction, mais non elle est gentille dans le fond. Dans le fond, du fond, du fond, genre tu prends la pelle et tu creuses, mais vraiment loin. Un peu comme moi, mais voir pire. Ouais elle est plus têtue que moi sur certains trucs. Genre pour se plaindre et pour sa compétitivité. Là c'est pire que tout. Moi perso je m'en fous de gagner ou perdre. Elle, on croirait qu'elle met sa vie en jeu. Truc de ouf. De mémoire je crois pas me souvenir d'un jour ou je l'ai pas entendu se plaindre ou râler. Elle doit pas être équipé pour être courtoise. En même temps, je pense que si elle l'était, bah je me ferais chier. Elle serait trop… girly. Un peu comme les trucs qui me servent de sœurs. Ouais être gentil à mes yeux, c'est être chiant et sans intérêt. Il est vrai que je suis une pourriture et je le vis plutôt bien. Non mais, je supporte pas les gens gentils. Moi j'aime les emmerdeuses de première catégorie. C'est plus fun. Genre là elle se fait pas chier, elle me passe dessus. Elle va finir par me tuer un jour, mais littéralement ! Seulement si je lui dis que j'ai mal, elle va me demander pourquoi. Et hors de question ! Et puis quoi encore. Ça va pas la tête. Toute façon c'est pas d'son âge ! Elle aime se vanter comme à son habitude que sans elle je ne saurai rien. Bah voyons ! Il faut savoir que j'ai choisi ce mode de vie. Et il me convient parfaitement. Je pourrai rester connecter au monde, comme les jeunes le disent. J'en vois juste pas l'utilité. Les gens me sont utiles que lorsque je dois vendre ma came, sinon c'est mort. J'ai pas envie de perdre mon temps à être sociable. Je dois dire que le cancer m'a bien changé. Et surtout ces départs à la con. J'ai plus envie de fréquenter les gens. Ceci dit j'aime me tenir au courant de la vie de la petite chieuse. « Bon et toi, qu'est-ce que t'as fait comme connerie lors de ta dernière soirée. » « Si tu venais en soirée au lieu de jouer au dépressif, j'aurais pas besoin de te raconter. »  Qu'elle me répond du tac au tac. Et voilà qu'elle recommence. Elle n'a toujours pas compris depuis le temps ? J'ai pas envie de sortir ? De toute façon, ça servirait à rien. Je me fatigue de plus en plus vite. Je suis très bien dans mon lit, avec ma drogue, ma chèvre et ma tv ! Tout ce qu'il me faut. Pas envie de faire des efforts surhumains. Oui car ça c'est un trop gros effort à mes yeux. « Sérieusement mec, tu loupe de pure truc. Y a même eu un concours de t-shirts mouillés l'autre soir. T'aurais été là, t'aurais pu t'astiquer avec d'autre image en tête que ce des magazines pornos en rentrant. »  J'ai un truc coincé entre les dents. Et merde ! C'est quoi. Oh sûrement le reste de pizza que j'ai mangé ce midi. Ouais ça doit être ça, fin ce n'était pas midi précisément, mais bon ça en reste pareil. Attend elle me raconte quoi encore ? Pourquoi qu'elle me parle de porno et de tee shirt mouillé. Ah j'ai compris ! « T'as du bien te rincer l'oeil ! J'savais pas que tu avais changé de bord ! » Et bah là j'en apprends tous les jours. Alors comme ça la petite White aime bien regarder les demoiselles. Si j'avais su ! C'est pas que je ne saurais pas venu, mais je me serais abstenu de l'avoir dans mes rêves. « Il y avait une soirée feu de camp samedi, un mec avait ramené des champis, sans déconner j'ai plané pendant toute la soirée, on a même failli foutre le feu à cette putain de clairière. Mais ça valait le coup. Juste pour voir Alan Goodrick courir dans tous les sens en étant persuadé que les lutin de la forêt voulaient le manger en dessert. Sérieusement, même dans ses tripes ce mec est teubé. » Je regarde Sam ! Elle a l'air tellement passionné par ses conneries, ça fait plaisir à voir. Voilà pourquoi j'aime pas sortir. Y aurait pas eu le plaisir de la voir me raconter ça ! Et puis c'est fun, je peux me faire la scène dans ma tête. Oh merde ! La roublarde, elle en a profité pour me foutre à terre ! Non, mais j'ai même pas le temps de comprendre ce qui se passe. Faut que j'arrête d'imaginer l'autre blaireau ! Mon cerveau ne peut pas faire deux choses à la fois. Physiquement impossible ! Trop dur même. « C'est qui la meilleure ? Hein ? Hein ? Dis le, c'est qui la meilleure ? » Je tourne la tête, pour la voir me faire sa presque danse de la victoire. « Toi ? » J'attrape ma bière et la finit cul sec ! C'est que j'avais soif. Flemme de bouger pour aller en chercher une autre. La cuisine est à côté, mais on s'en fout. Oui ce n'est pas une maison à étage, l'avantage d'un plein pied et d'une dépendance. Je me serais pas vu dans mon état grimper les marches. Rho ! Faut que j'arrête de penser ainsi. « Et tu sais que pas besoin d'aller faire un feu de camp pour profiter de champi ! Tu sais que j'en ai dans ma cuisine, ou d'autre truc dans mes tiroirs. » Pourquoi aller se geler les miches dehors. J'attrape ma clope et la porte à mes lèvres. Je suis tellement bien là. Tout ce qui me faut, rien qui me manque ! Le pied quoi ! « Bon alors tu as rencontré la femme de ta vie pendant ce machin chose de concours ? T'aurais pu me dire que tu étais gay ! » Ça aurait changé tellement de chose. Aie. C'était quoi ça. Et merde, les douleurs qui reviennent. L'avantage de l'avoir déjà pratiqué, c'est que je ne grimace plus. J'ouvre mon tiroir, il va me falloir un truc plus fort. Ouais ça, ça c'est bien. Je tourne la tête. Bon elle a pas fini. Je gobe la pilule magique et chope la bière de White au passage. Elle ouvre grand les yeux. Je lui redonne. « Ce n'est que quelque goutte, relax femme ! Et puis tout ce qui est à toi, est à moi et tout ce qui est à moi et à toi ! » Je lui fais un grand sourire. On va se la jouer comme ça. C'est mieux. Toute façon c'est ma bière à la base. Bon techniquement ce qui est à moi, est à moi, mais bon là on va pas la contrarier.

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MessageSujet: Re: Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam)   Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam) EmptyJeu 19 Fév - 14:56







« T'as du bien te rincer l'oeil ! J'savais pas que tu avais changé de bord ! » Je lui parle de fille montrant leur sein et c'est tout ce qu'il trouve à répondre ? C'est moi qui vais finir par me poser des questions sur son orientation sexuel si ça continue. Pas que j'ai un problème avec l'homosexualité vous me direz mais bon... Wyatt m'a déjà fait le coup il y a quelques années de ça, j'aimerais autant qu'on évite de répéter l'histoire. Si les mecs qui m'intéresse pouvaient éviter de tous se révéler gay, ça m'arrangerait. Un ça va, deux je vais commencer à me poser de sérieuse question sur mon karma. Enfin c'est pas vraiment comme si j'étais intéressée par Destiel. Non, c'est... Oh puis merde, c'est rien du tout, c'est juste un pote. Vous l'avez bien regardé ? Dans le genre rachitique, frisé comme un mouton, et insociable au possible, c'est sur il peut plaire, mais c'est pas mon tripe. Non moi j'aime les mecs, les vrais. Ou pas. J'en sais rien. J'aime personne de toute manière, c'est bien connue. Pas la peine de chercher plus loin. D'ailleurs le mieux à faire c'est encore d'ignorer sa remarque, plutôt que de mes faire surchauffer le cerveau. C'est pourquoi j’enchaîne sur les derniers épisodes en date. Et me reconcentre sur le jeu, histoire de lui foutre la raclé qu'il mérite, ça lui apprendra à dire de la merde, voilà. Les gens ont tendance à trouver que j'ai un sérieux problème quand je joue à quelque chose. Paraîtrait que je suis trop compétitive. Que je veux trop désespérément gagner. Que c'est pas sain comme attitude. Et qu'il serait temps que je me calme avec ça. Mais honnêtement, je pense pas que ça soit moi le problème. C'est normale non, de vouloir gagner ? Je veux dire si t'en a rien à foutre à quoi bon prendre seulement la peine d'essayer ? Moi je me donne toujours à fond. Depuis que je suis toute petiote, j'ai toujours été comme ça. Je fais les choses bien. Ou alors je les fait pas. Et quand je gagne, ben c'est bien la preuve que je me suis donnée à deux cent pour cent. Ça a tendance à me rendre heureuse, qui puis-je ? Alors oui je laisse facilement exploser ma joie.   « C'est qui la meilleure ? Hein ? Hein ? Dis le, c'est qui la meilleure ? » J'ai un sourire qui va sûrement d'une oreille à l'autre et les yeux qui brillent d'excitation. Vas-y dis le, dis le ! J'ai jamais été du genre modeste, j'aime qu'on reconnaisse mes mérites et qu'on chante mes louanges. Je le vis plutôt bien, ça flatte l'ego et ça, ça peut jamais faire de mal. D'ailleurs, il s'exécute en quelque sorte. « Toi ? » Ouais, je l'entends son petit point d'interrogation à la fin. Comme s'il y avait le moindre doute sur la question. Mais je m'en fous je suis contente quand même. Alors mon sourire s'agrandit et j'ai peut-être l'air un peu conne comme ça à être aussi heureuse pour une simple partie. Mais de vous à moi, j'm'en bat les reins. Je me fais suffisamment chier dans la vie pour en savourer les petits plaisirs sans me poser de questions sur ce que les gens penseront de moi à cause de ça. Et puis les gens... C'est juste Destiel alors franchement... Il me connaît suffisamment bien pour pas que je m'inquiète, je me permets même une minuscule danse de satisfaction, secouant mes épaule et agitant mes petits points. « Et tu sais que pas besoin d'aller faire un feu de camp pour profiter de champi ! Tu sais que j'en ai dans ma cuisine, ou d'autre truc dans mes tiroirs. » Oh oui ça je sais. Destiel, fournisseur officiel de Spring Garden. Enfin entre autre... Parce qu'il est loin d'être le seul à pouvoir me donner de quoi planer. Quand c'est pas lui c'est Silas et quand c'est pas Silas, il reste toujours Robin pour me dépanner. Non franchement des gens pour me fournir en drogues diverses et variés, j'ai ce qu'il faut. Ce qu'il ne comprend pas le Petit Destiel, c'est que c'est pas seulement de la drogue que je recherche. Non, moi j'ai beau être une sacré chieuse par moment, lancer des regards noirs à tout va et râler des que j'en ai l'occasion, j'aime bien les gens. Sortir, voir du monde, faire la fête, j'aime bien ça. Alors quand bien même j'aime passer du temps avec l'autre taré et sa chèvre, je ne vais pas arrêter de sortir pour autant. « Bon alors tu as rencontré la femme de ta vie pendant ce machin chose de concours ? T'aurais pu me dire que tu étais gay ! » Et le voilà qui repart avec ça, à croire qu'il fait une fixette. Quoi il serait si triste que ça d'apprendre que je suis de l'autre bord ? Ou peut-être ravie au contraire. Avec les mecs je sais jamais vraiment, leur fantasme tout ça, faut pas me demander de comprendre. Mais j'ai pas le temps de lui répondre, que monsieur m'arrache ma bière des mains. Hey, oh, c'est quoi ça ! Il s'est cru chez mémé ou quoi ? Non mais sérieux ! Bon d'accord la bière vient de son frigo et je me sers carrément de ses affaires comme si c'était les mienne en permanence, mais c'est pas une raison ! Faudrait quand même pas qu'il prenne trop ses aises le jeune homme. Qu'il oublie pas qui est le chef ici. Et oui, pour ce qui se pose la question c'est moi ! Même s'il est capable de prétendre le contraire. « Ce n'est que quelque goutte, relax femme ! Et puis tout ce qui est à toi, est à moi et tout ce qui est à moi et à toi ! » Et la v'la-t-y pas qu'il m'offre un grand sourire. Comme si ça suffisait à faire passe la pilule. Non, non, non monsieur, je suis pas du genre partageuse moi. Je récupère ma bière en lui jetant un regard noir et laisse une gorgé glisser dans ma bouche comme pour me réapproprier la bouteille. On rigole pas avec la boisson, non mais oh !   « Fait gaffe à ce que je prenne pas ça au pieds de la lettre, mon petit, tu pourrais être surpris de voir des affaires disparaître... » Ah bah oui, il veut jouer au malin, il assume hein ? Je vais vraiment les faire mienne ses affaires, il va pas comprendre. Je suis sur que j'arrive à trouver deux, trois, trucs intéressant à ramener chez moi dans le coin. Juste pour le faire chier tiens. Ouais, je sais, j'ai un mauvais fond. Mais bref, passons. Je fais défiler les terrains de jeu pour relancer une nouvelle partie et revient à la conversation initiale. Qui semble être mon orientation sexuelle, puisque c'est tout ce qu'il a retenu apparemment.   « Et qu'est-ce que ça peut bien te foutre si je préfère les femmes hein ? Apparemment toi ça semble pas être ton truc, alors faut bien qu'une personne dans la pièce souligne la beauté de leur courbe non ? » Ouais parce que soyons honnête, j'ai beau être hétéro jusqu'au dernière nouvelle, ça m'empêche pas de reconnaître que c'est beau une femme. C'est jolie, les formes, les seins, les fesses et le reste. Mais je sais pas pourquoi, quand nous, femme, ça nous dérange pas de reconnaître la beauté de notre propre sexe, les mecs semble incapable de faire de même de leur côté, comme si ça allait leur enlever toute virilité ou je sais pas... Le cas de Destiel est une exception bien sûr, vu sa sociabilité, soit il se paye des putes pour se vide les burnes, soit il est asexué, au choix. Et désolé au ce que mon langage choc mais faut dire les choses clairement parfois.   « Tu sais, ton manque d'intérêt pour les filles... Les gens vont finir par se poser des questions. » Ouais, les gens aiment bien se poser des questions faut dire. Les potins, qui couche avec qui et qui a reluqué le cul de la belle Nancy, ils kiffent. Ça les distrait que voulez vous. Et Destiel, sûr qu'il peut donner de quoi jazzer dans le patelin.   « Vont finir par croire que ta chèvre... » Je me marre toute seule. Ouais, avant que les gens pensent ça, y a de la marge, mais ça me fait marrer de le dire c'est tout. Je vient caresser ledit animal à nos pieds.  « Pauvre pâquerette, je devrais peut-être prévenir la SPA. »

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MessageSujet: Re: Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam)   Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam) EmptyLun 23 Fév - 18:29






La petite White si on veut lui faire plaisir, il faut la laisser gagner. Y en a qui se contente de peu, vraiment peu. Moi perso je m'en fous de gagner ou perdre. De plus je l'ai déjà battu, mais vu sa réaction… je préfère la laisser gagner. Elle est capable du pire, mais vraiment du pire quand elle perd. Et croyez-moi j'en sais quelque chose. Quand on était petit, soit lorsqu'elle était encore plus petite qu'elle ne l'est déjà, elle me courait après, armée généralement d'une batte de baseball ou de ce qu'elle avait sous la main. La raison ? Je ne courais pas assez vite, je ne faisais pas ça correctement. Bref j'étais la raison de la défaite de l'équipe, les autres s'en fichaient royalement, puisqu'il y avait pire que moi. De base, je ne voulais pas être dans cette équipe, j'ai jamais été un fana de sport, mais là j'étais obligé ! Et puis je devais supporter ce microbe, une horreur. J'ai jamais compris l'intérêt des gens de courir après une balle, ils se prennent pour un chien sûrement. Fin bref ! Pâquerette n'aime pas les balles, elle les bouffe, c'est bien ma fifille à moi. Pour en revenir à la White, mon jeu à moi lorsqu’on était gosse, c'était de lui pourrir la vie. J'adorais la faire chier et donc de la voir s'énerver. Je prenais mon pied à la faire courir après moi, c'était le must !  Et puis on a grandit, moi j'ai grandit, elle pas vraiment, j'ai toujours l'impression qu'elle reste cette lilipucienne. Les choses se sont améliorés, fin si on veut, j'ai l'impression qu'elle désire moins ma mort, ceci dit elle n'accepte toujours pas la défaite. Pour ça que je la laisse gagner. Je gagne contre moi même c'est le plus important. Et puis je préfère qu'elle fasse sa danse de la victoire, comme elle le fait à présent, plutôt qu'elle décide de refaire la déco de ma chambre. Sous prétexte qu'elle n'assume pas ma supériorité ! Tout ça pour dire que c'est une mauvaise joueuse, qu'elle le sait, que je le sais, que tout le monde le sait et que ça peut se montrer chiant. Pour ma part, j'ai appris à vivre avec, je l'accepte telle qu'elle est et puis j'avoue que si elle était différente et bien je m'ennuierai. Une White pas chiasse ? Non ça ne peut pas exister. Je suis sûre qu'elles doivent toutes être comme elle dans la famille. Ouais j'arrive à suivre et je sais qu'elle a trois sœurs, ou quatre ? Non elle a un frère, fin bref elle vient elle aussi d'une grande famille. Youpi ! Seulement elle, c'est différent de la mienne. Merde du coup j'ai perdu le fil de la discussion, ça ne doit pas être important de toute façon. Elle me fait toujours sa danse, un jour elle va s'autoproclamer reine ou une connerie du genre. On ne va pas la refaire la petite, elle a trop de case en moins pour ça. La drogue c'est mal ! J'en sais quelque chose. C'est un peu, voir beaucoup mon moyen de vivre. J'aime vendre ce genre de produit et bien sûr en consommer. J'en ai pas honte. Je ne vends pas ici, non je préfère aller voir les autres petites villes, c'est tellement plus ludique. Et puis ça me donne une bonne raison de sortir et prendre l'air. White en sait quelque chose sur mes produits, tous plus illicite les uns que les autres. J'ai ma propre petite collection et j'en suis assez fier. Oui j'aime être fier de mes produits, il le faut bien ! Et puis c'est aussi ma médecine. Je conçois qu'elle ne soit pas vraiment reconnu et approuvé par les médecins, mais ça me fait du bien. Y a bien des gens qui consomme de la marie jeanne pour diminuer leur cancer, pourquoi pas moi ? Il est vrai que je consomme plus que cette simple plante. Moi je prends un peu de tout, j'aime bien me faire des mélanges. J'aime aussi collectionner les boîtes d'emballage, j'en fais la collection. Y en a d'ailleurs pas mal dans ma penderie. Je crois que je n'ai plus de place pour en mettre des nouveaux. La preuve ça s'étale sur les murs d'à côté. On s'en fout, chacun sa déco et puis ce n'est pas comme ci je recevais tous les jours de la visite dans ma chambre. C'est tout le contraire, hormis la White, je ne reçois personne. Pâquerette aime cette déco, elle veut même bouffer des emballages parfois. J'ai tendance à croire que cette chèvre mangerait tout et n'importe quoi. Pire que moi. Bon revenons à la White, sinon elle va croire que je l'oublie, loin de moi cette idée. Comment l'oublier ? « Bon alors tu as rencontré la femme de ta vie pendant ce machin chose de concours ? T'aurais pu me dire que tu étais gay ! » L'ironie me tuera un jour. Bientôt peut-être, plus rapidement qu'on le pense. Je laisse ma question en suspend, elle ne va pas l'ignorer celle-ci ! Sinon je boude ! Je veux bien qu'elle ignore le début, mais faut pas déconner non plus, j'ai besoin de savoir moi ! Pourquoi, j'en sais trop rien, mais je veux savoir ! Et puis je n'ai pas de compte à rendre sur mes pensées. Pour l'heure, il me faut un médoc, la douleur revient et avant que celle-ci me tue, j'ai besoin de calmer la douleur. Plus d'alcool, tant pis, la White en a ! « Ce n'est que quelque goutte, relax femme ! Et puis tout ce qui est à toi, est à moi et tout ce qui est à moi est à toi ! » Et vas-y qu'elle me dévisage, j'ai l'impression d'avoir déclaré la guerre ou truc du genre. Elle se gêne pas pour prendre mes affaires en temps normal. Elle va pas me faire un cake pour une goutte ou deux. Ah les femmes ! Je les comprendrais jamais ! Bon retournons au jeu, il est bien plus ludique que cette demoiselle qui s'énerve pour un rien. Pire qu'un Gremlins et encore là je l'ai pas nourris après minuit. « Fait gaffe à ce que je prenne pas ça au pieds de la lettre, mon petit, tu pourrais être surpris de voir des affaires disparaître... » J'hausse les épaules. « Fais-toi plaisir femme ! » J'aime bien l’appeler ainsi. Je sais pas pourquoi, ça me donne un certain contrôle de la situation. Je pourrais pas vous dire. Oh puis de toute faon j'en ai marre de m'expliquer. J'aime pas ça ! C'est chiant de devoir s'expliquer. « Et qu'est-ce que ça peut bien te foutre si je préfère les femmes hein ? Apparemment toi ça semble pas être ton truc, alors faut bien qu'une personne dans la pièce souligne la beauté de leur courbe non ? » Hein ? Qu'est-ce qu'elle raconte ? Je fronce les sourcils et la regarde. Je pige pas où elle veut en venir. « Tu sais, ton manque d'intérêt pour les filles... Les gens vont finir par se poser des questions. » What ? Je passe une main dans mes cheveux, lâchant la manette au passage. Pourquoi qu'elles parlent des gens à présent, je suis largué ! Elle a pris un truc et m'a rien dit. C'est pas bien de ne pas partager, faut pas être égoïste dans la vie ! Il faut savoir partager, vilaine. « Vont finir par croire que ta chèvre... » Quoi ma chèvre ? Elle regarde pâquerette, tout en lui caressant le museau. « Pauvre pâquerette, je devrais peut-être prévenir la SPA. » What da phoque ! J'ouvre grand les yeux ! « NON MAIS T'ES MALADE ! » Oui je sors de mes gonds. Je secoue la tête. Elle va pas bien, mais alors vraiment pas bien ! « Personne ne touche à ma fifille. » J'attrape ma fifille et l'emmène loin de ce monstre qui veut me l'enlever. Là c'est mieux dans son panier. Je reviens vers la White qui est morte de rire. « Et puis j'en ai strictement rien à foutre de l'avis des gens ! Depuis l'temps tu d'vrais l'savoir ! » Les gens je m'en fous comme de l'an quarante ! Leurs avis m'importent peu, j'en ai rien à foutre. Ils peuvent penser ce qu'ils veulent. « Puis d'abord je m'en fous pas des filles. Je m'y intéresse toujours, je fais juste une pause ! » Fin si on peut dire ça une pause, on va dire que là je suis obligé. Je n'ai pas trop le choix. Mon état me laisse pas beaucoup d'alternative. Je suis une loque et je dois l'assumer. « Puis oui ça m'intéresse un peu ta sexualité ! Si tu aimes tant les nanas, j'peux t'en présenter. Tiens j'viens de rencontre une nana qui je suis sûr te plairait ! » Bon je brouille les pistes, mais hein ! On fait ce qu'on peut avec ce qu'on a ! Je vais pas lui dire que ça me ferait carrément chier qu'elle soit de l'autre bord ! « Puis tu peux parler, on te voit pas avec des mecs et là tu me parles de nanas ! Alors hein ! » J'ai pas compris ce que je voulais dire, mais on s'en fout ! Qu'elle me fasse pas la morale, tiens pendant que je suis debout, je vais aller me chercher à boire. Ça va me faire du bien. Alcool !« Puis tu sais quoi ! » Je me retourne et … je porte la main sur mon coeur. « Arrête ça, j'vais finir cardiaque avec toi ! » Faut vraiment qu'elle arrête de se faufiler derrière moi ainsi. C'est pas bon pour ma tension. J'allais dire quoi du coup ? Je sais plus ! Oh puis merde ! Elle me chope ma bière, j'écarquille les yeux. Elle est pas sérieuse ! Oh elle fait chier, bon m'en faut une autre.

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MessageSujet: Re: Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam)   Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam) EmptyDim 1 Mar - 1:02







« NON MAIS T'ES MALADE ! » J'explose de rire suite à sa réaction si viscérale. A croire que je viens de lui annoncer avoir étripé trois nouveau née la nuit dernière. Hey, c'est bon, on se détend, c'était juste une blague. Je sais bien qu'il fait rien avec cette pauvre chèvre. Mais le simple fait de l'insinuer le fait sortir de ses gonds. C'est ça qu'est bien avec Destiel, il a beau sembler complètement apathique et donner l'impression que rien en l’atteint jamais, il y a des boutons simple sur lesquels appuyer pour le faire réagir. Des petits trucs qui marchent à tous les coups. Pâquerette fait partie de ses trucs. C'est dingue comme il l'aime sa chèvre. Et même s'il ne fait rien de sexuelle avec, c'est pas plus mal qu'il est pas de copine parce qu'elle risquerait d'être jalouse de sa fifille et c'est franchement pitoyable d'être jalouse d'une chèvre vous ne trouvez pas ? Non mais imaginez seulement la scène, vous faites une crise de jalousie en allant vous plaindre de votre mec à votre meilleure pote et à la fin vous êtes obligé de lui avouer que la fille en question n'est pas une fille mais un animal... Ridicule. Mais comique, j'en conviens. Enfin je m'égare, on est pas là pour parler de ça puisque de toute manière c'est pas demain la veille que Desti aura une fille à rendre jalouse. Pour ça faudrait déjà qu'il sorte pour rencontrer des potentielle futures copines. « Personne ne touche à ma fifille. » Ouais, t'as raison mon gros, va lui faire un câlin à ta fifille, il y a qu'elle qui te supporte. Et moi, allez savoir pourquoi. Il prend pâquerette dans ses bras et l'éloigne de moi comme si j'allais subitement me jeter dessus pour la violer. Qu'il est con, il l'a dit lui même, apparemment moi c'est les filles qui m'intéressent, pas les chèvres... Ou alors il veut juste l'emmener loin des horreurs que je peux sortir, comme si toute les insanités qui sortent perpétuellement de ma bouche pouvait traumatiser sa pauvre petite bête. Mais elle est pas traumatisée la pâquerette, c'est bien connue qu'elle m'aime, moi et mes pommes, voyons. Il va la poser dans son panier – oui parce que c'est une chèvre à panier. Personnellement j'attends le jour où elle s'attaquera au chat à force d'avoir été traitée comme un chien – et l'air outré qu'il continue d'afficher quand il me fait de nouveau face, accentue mon fou rire. Pauvre Desti, il est trop sensible ce petit. « Et puis j'en ai strictement rien à foutre de l'avis des gens ! Depuis l'temps tu d'vrais l'savoir ! » Oh mais je le sais bien ça ! Personne n'en a jamais rien à foutre de l'avis de gens. Enfin c'est ce qu'on dit quoi. Mais pour Destiel je veux bien croire que ça soit vrai. Il se fout de tout ce petit. Quand on lui fait des remarques, il se contente généralement d'hausser les épaules et de partir dans l'autre sens. J'en sais quelque chose, gamine j'ai passer la moitié de ma jeunesse à essayer de le faire réagir sur quelque chose, n'importe quoi, mais ça a jamais marché. Il a failli me rendre dingue à être indifférent à tout de la sorte. Même quand je lui filais des coups dans la gueule il réagissait pas ce con. Mais bon, ça c'est le passé, j'ai appris à le faire réagir depuis le temps comme vous avez pu le constater. « Puis d'abord je m'en fous pas des filles. Je m'y intéresse toujours, je fais juste une pause ! » Oh, oh ! Voyez vous ça ! Monsieur s'intéresse aux filles ! Aux vrais ou celles qu'il trouve derrière les écrans et sur les papiers glacés ? Non parce que quelqu'un devrait peut-être lui dire que c'est pas la même chose. Allez, je le charrie, mais dans le fond je sais pas grand chose de la vie sentimentale et sexuelle de Destiel. Pas que ça m'intéresse vraiment, surtout du côté sexuelle, mais c'est vrai que je sais même pas s'il est déjà sortie avec une fille ce con. Baiser une fille, je suis partie du principe que ça avait déjà du lui arriver mais sortir vraiment avec quelqu'un ? Pas sûr. Vous croyez qu'il aurait trouvé quelqu'un pour le supporter vous ? Je devrais peut-être lui demander depuis quand il fait une pause exactement, histoire d'avoir quelque éclaircissement sur la question. Et s'il me répond depuis toujours, on aura la joie d'apprendre que monsieur et toujours puceau et je pourrais me foutre de sa gueule comme pas possible. Beaucoup de possibilité de distraction avec une seule question, c'est bien. « Puis oui ça m'intéresse un peu ta sexualité ! Si tu aimes tant les nanas, j'peux t'en présenter. Tiens j'viens de rencontre une nana qui je suis sûr te plairait ! » Super, je suis ravie d'apprendre que tu t'intéresse à ma vie sexuelle mec ! C'est quoi le problème, je suis tellement chiante qu'il s'est dit que j'étais frustrée et que la meilleure solution pour me rendre plus docile c'était de me trouver des plans cul ? Trop sympa, merci ! J'en demandais pas tant. Je lève les yeux au ciel et me laisse retomber sans aucune grâce sur son lit en faisant froufrouter les draps. J'aime bien m'affaler dans les lits, ça rebondit c'est sympa. Et puis le brut des draps qui se froissent aussi d'ailleurs. Ça me rappelle... Ouais en fait ça me rappelle le sexe par moment. Ce qui est étrange. Finalement Desti a peut-être raison, je suis peut-être un peu en manque. C'est quand la dernière fois que je me suis envoyée en l'air déjà ? Trop longtemps, c'est tout ce que je peux dire. Pas ma faute si je ne suis pas aussi ouverte d'esprit que Charlie. Suffit pas d'avoir un beau cul pour me foutre dans son lit, faut savoir un minimum m'intéresser et vu que la moitié des gens sont con, on va dire que je suis pas la reine des plans cul. Pas faute d'avoir essayé pourtant. Qui sait peut-être que trouver une fille serait plus facile qu'un mec après tout... Mais on s'éloigne du sujet là. Faut que j'évite de me perdre dans ce genre de pensées au risque de me retrouver avec l’œil vague et un Destiel qui me demande à quoi je pense. Vous vous doutez bien que je serais légèrement emmerdée si je devais répondre à ça et que je serais obligée d'inventer une réponse débile. Autant éviter. « Puis tu peux parler, on te voit pas avec des mecs et là tu me parles de nanas ! Alors hein ! » ouais ben on en reviens au fait qu'ils soient pas assez bien pour moi les mecs. Je suis une fille exigeante, pas ma faute. Et puis qu'est ce qu'il en sait de si on me voit ou non avec des mecs ? Il a des espions maintenant ? Des gens chargés de lui rapporter mes moindres faits et gestes ? Non parce qu'il sort jamais lui, alors qu'est ce qu'il pourrait bien en savoir dites moi ? Finalement Desti est peut-être du genre Stalkeur, je devrais me méfier. Je me redresse, l’œil méfiant, essayant de deviner s'il a des espions ou s'il vient carrément en douce au soirée et m'évite autant qu'il peut. Mais je le vois juste se diriger vers le frigo pour attraper une nouvelle bière. Ça ne me dit pas grand chose sur ses penchants de Stalkeur, ça m'informe juste qu'il a plutôt un beau cul quand il se penche, mais ça je le savais déjà même si ça me fait mal de le reconnaître. Comment peut-il être autant un sac d'os et pourtant avoir un beau cul ? Quelqu'un m'explique ? Je me lève discrètement du lit et vient me placer dans son dos. Non je ne viens pas tâter la marchandise, bande de vicieux. « Puis tu sais quoi ! » Il se retourne et la tête qu'il fait en me trouvant derrière lui n'a pas de prix. Je suis sûr que son cœur a loupé au moins un tour. Bien fait. Ça lui apprendra à me faire penser à son cul ! Comment ça il y est pour rien ? Si, si, je vous jure, c'est de sa faute. « Arrête ça, j'vais finir cardiaque avec toi ! » Je lui souris de toutes mes petites quenotte, assez fière de moi, avant de lui retirer sa bouteille des mains. Tout ce qui est à lui est à moi, remember ? Il semble halluciner un peu mais n'insiste pas et se contente d'en prendre une nouvelle. Il doit savoir qu'il ne fait pas le poids que voulez vous. Je me retourne satisfaite et vais rejoindre ma place sur le lit, attrapant au passage un briquet pour ouvrir ma boisson. La capsule vole dans les airs et je me penche pour la ramasser avant de prendre une gorgée. « T'as raison tiens, les mecs sont trop con, je préfère les nanas. » Me croira, me croira pas, j'en sais rien. Et honnêtement je m'en bat les reins. S'il y croit y a moyen de bien se marrer non ? J'adorerais voir Destiel, m'organiser un rendez-vous à l'aveugle avec une parfaite inconnue. « Par contre vu que tu bouges pas ton cul de cette putain de baraque, tu m'expliques où t'as réussi à rencontrer une fille pour moi ? C'est qui ? » C'est vrai ça, d'où il rencontre de nouvelle personne lui ? Je suis curieuse moi maintenant. « Et j'espère qu'elle a de gros seins, sinon je vois pas l'intérêt. » Non mais tant qu'à passer de l'autre bord autant qu'on voit la différence vous trouvez pas ?

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MessageSujet: Re: Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam)   Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam) EmptyDim 1 Mar - 19:43







Les gens sont vraiment exaspérant. Comment on pourrait croire une minute que je puisse faire des choses salasses à cette pauvre bête. Je l'aime plus que tout. Je ne suis pas un taré de cette espèce. Je sais que je suis taré, voir con, mais pas à ce stade. Ça va pas la tête. Cette bête, c'est mon amour, mon bébé, ma fifille. Elle au moins elle est présente pour moi et me donne toujours raison. Bon d'un sens, ça paraît normal puisqu'elle ne parle pas, mais ça en revient au même. Elle est un peu comme la White, la parole en moins. Ouais non, mais faut pas croire, mais parfois Pâquerette, peut-être sacrément chiante. Le matin surtout. Mademoiselle est du matin, pas moi. Ce qui ne va pas. Puisqu'elle veut sortir, jouer, me faire chier, alors que moi je veux juste dormir. Je ne demande pas la lune, mais non mademoiselle ne veut pas. J'en ai chié pour lui apprendre tout ces tours ! Et je n'ai pas fini. Dans les prochains jours, je compte lui apprendre à mordre ! Il est temps qu'elle se rebelle, elle fraternise trop avec l'ennemie. V'la ti pas qu'elle s'entend bien avec l'autre cafard. Ce qui me plaît pas du tout, absolument pas et puis quoi encore ? C'est pas la fête non plus ! Hors de question que ma fifille s'entende bien avec ce truc qui me servait de meilleur ami avant. No way ! Va vraiment falloir que je sois plus dur avec elle, le truc c'est que lorsqu'elle me fait ses yeux doux. Bah moi je craque. Je suis faible face à son regard d'amande ! Elle est trop mignonne et adorable. Là par contre elle n'a pas de point commun avec la White ! Si elle savait que je la compare à une chèvre : je suis mort. Oh ça oui ! Elle trouvait même le moyen de ne pas m'enterrer, histoire de me faire chier. Bien que je ne vois pas en quoi ça me ferait chier, mais bon on parle de la White, elle trouve toujours un truc ! C'est dans ses gênes. Du moment qu'elle peut me faire chier, elle fonce. Je sais pas pourquoi. Je dois être une sorte de passion pour elle, ouais c'est ça ! J'suis sa passion première. Elle tente de me bouger. Aurait-elle pitié de mon espèce ? Je doute. Elle ne sait pas grand-chose de moi. A part que je suis con, ce qui est déjà beaucoup, que je vis avec ma chèvre, que je ne sors pas beaucoup. Que je deale, que j'ai tout un tas de substances, que je suis souvent défoncé. Que j'ai un penchant pour l'alcool, la drogue, la vie simple. Oui bon en résumé elle sait les grandes lignes de ma vie et ça me va entièrement. Elle ne sait pas LE truc qui risque à mon avis de la faire changer d'avis sur moi. Peu de gens le savent. Fin si les plus commère. C'est pourtant un bled paumé ou les gens ne font que parler sur les autres. Je comprends pas comment elle ne l'a jamais su. Faut dire qu'elle écoute pas trop les commérages. Ce qui est à mon avantage. J'ai pas envie qu'elle sache. J'sais bien que c'est égoïste et qu’inconsciemment je m'attache à ce p'tit truc, assez envahissant, mais j'veux pas. La dernière fois que les gens l'ont su, ça a tourné au cauchemars. Et puis je veux pas qu'elle soit là pour moi, si tentait qu'elle soit là. J'ai pas besoin de pitié, de gens compatissant pour moi. Je me débrouille très bien tout seul. Ouais c'est ça ! Du moins, les gens pensent que c'est la vérité, pour tout dire, sans la drogue je tiendrais pas. Le jour où je devrais arrêter toutes mes merdes n'est pas encore arrivé. Là c'est sûr : je meurs. Je tiens pas sans ça. J'ai besoin d'eux. Tiens d'ailleurs me faut de l'alcool, faut que j'arrête de boire vite. Je viens de tilter que j'avais un tic de langue. Je viens de lui sortir cinq fois le mot « puis » je dois vraiment pas être clean là haut. Mon dictionnaire n'est pas large, les mots se raccourcir là haut. Tant pis. On s'en fout. Elle a capté ou je voulais en venir. J'espère bien ! J'compte pas me répéter. J'sais déjà plus de quoi qu'on parlait ! AAAAH ! Non, mais elle va pas bien ! Faut sérieusement qu'elle arrête ça. « Arrête ça, j'vais finir cardiaque avec toi ! » Quand je dis qu'un jour cette femme va me tuer. Dans tous les sens du terme. J'espère au moins qu'elle m'accordera une mort rapide. J'ai pas envie de subir ses tortures. Vite et direct. C'est qu'elle m'attrape la bière, avec un petit sourire qui veut tout dire. Je soupire et retourne au frigo. Lorsque Femme parle, homme se tait. Là ça n'en vaut pas la peine. La capsule vol dans ma chambre et je la regarde la chercher. J'aime bien quand elle bouge, elle réveille en moi des bonnes sensations. « T'as raison tiens, les mecs sont trop con, je préfère les nanas. » Oulah ! Elle me donne raison, où va le monde ? « Faut que je le note sur le calendrier, tu m'donnes raison, demain il neige ! » C'est pas tous les jours que miss White me donne raison. Je pourrais presque en être choqué. Je reprends ma place initial, bougeant ses fesses au passage. Petites fesses comme je les aime. Pourquoi je pense à ça moi ? C'est sa faute en même temps, elle me parle de sexualité alors que la mienne est au point mort ! Not Cool ! « Par contre vu que tu bouges pas ton cul de cette putain de baraque, tu m'expliques où t'as réussi à rencontrer une fille pour moi ? C'est qui ? » Qui qu'est qui ? J'suis perdu. Elle me parle de qui déjà ? Pourquoi qu'elle me parle d'une fille et de moi. Non attend on rassemble les mots dans l'ordre, ça ne peut pas me faire de mal. Ah bah oui là je comprends mieux. C'est qu'elle retient ce qu'elle veut retenir la petite ! Faut que je fasse gaffe à ce que je dis, le truc c'est que je m'en souviens déjà plus dans l'heure qui suis. Ça va être dur. « Et j'espère qu'elle a de gros seins, sinon je vois pas l'intérêt. » Je bois une gorgée. Je voulais lui présenter qui déjà ? Ah oui blondinette ! Bon comment lui dire où je l'ai rencontré, sans lui dire pourquoi j'étais là-bas et sans lui dire tout en fait ? I know ! « Bouah tu m'connais j'aime bien partager mes joints. Elle était là, avec ces p'tits yeux, j'ai pas su dire oui. J'suis généreux comme mec, tu l'sais bien. » Bon ce n'est pas tout à fait la vérité, mais proche. On a effectivement partagé un joint. Et oui je suis généreux, bah en fait c'est la vérité. J'omets juste les détails. « Pour ce qui est de sa poitrine désolé, mais non ce n'est pas un bonnet pamela, mais plus un truc mannequin ! J'aime bien, fin t'sais moi je préfère les petites poitrines. » Je descends mes yeux vers les siens. Suivez mon regard ! « Que les grosses qui prennent trop de place ! » Oui c'est la vérité ! Je ne suis pas un fan des bonnets XXL ! J'sais plus où donner de la tête après. Et puis bon j'ai pas envie de mourir à cause de suffocation. « J'suis sûr que Selina te plairait, elle a un p'tit mordant comme toi. ! » Là par contre j'étais pas près. Je viens de me recevoir du jus de bière sur la gueule. On m'explique pourquoi la White crache à présent, fin s'étouffe ?

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MessageSujet: Re: Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam)   Ma philosophie c’est d’ignorer le problème jusqu’à ce que j’en sois complètement débarrassé. (Sam) EmptyDim 15 Mar - 21:38







« Bouah tu m'connais j'aime bien partager mes joints. Elle était là, avec ces p'tits yeux, j'ai pas su dire non. J'suis généreux comme mec, tu l'sais bien. » Ouais, ouais, le cœur sur la main et tout ça. Une vrai petit samaritain le Destiel, toujours là pour aider les gens dans le besoin et s'occuper des défavorisé. Enfin... Tant que leur besoin nécessite de prendre des substances diverses et variées, de déclencher quelque réaction chimique intéressante et ce genre de truc, je suis sûr que vous voyez de quoi je veux parler. Non parce que sinon je suis pas sur qu'il serve à grand chose. Je dis pas ça méchamment qu'on se mette bien d'accord, c'est juste que je ne le vois pas trop se lancer dans le bénévolat et ce genre de truc. En fait je le soupçonne même d'être généreux avec la drogue principalement pour se créer une clientèle, histoire qu'ils reviennent se fournir chez lui par la suite. Ce qui est plutôt intelligent quand on y pense. Tiens, Desti intelligent.... Pas quelque chose que je pensais dire incessamment sous peu. Enfin je vais pas non plus cracher sur son dos, ça serait méchant de ma part, pour être tout à fait honnête Destiel ne m'a quasiment jamais fait payé pour ma consommation de quoi que ce soit. Rendons à César ce qui est à César. Du coup plutôt que de lui dire tout ce qui me vient à l'esprit sur sa prétendue générosité je me contente de sourire en imaginant la scène. D'un certain côté encore heureux que Destiel se drogue, il serait tout bonnement incapable d'avoir la moindre relation sociale sinon. « Pour ce qui est de sa poitrine désolé, mais non ce n'est pas un bonnet pamela, mais plus un truc mannequin ! » Je ne peux pas m'empêcher d'afficher une moue déçue. Vous savez, pour la forme. Histoire de rester dans mon rôle. « J'aime bien, fin t'sais moi je préfère les petites poitrines. » Ses yeux descendent vers ma poitrine. Ma ridiculement petite poitrine. Le sous-entendu n'est pas des plus subtile si vous voulez mon avis. Je lève les yeux au ciel pour lui montrer tout ce que j'en pense de ça. Mais au fond de moi j'ai l'étrange envie de sourire. Juste un peu. Ce qui est sacrément con parce que j'en ai rien à foutre que je sois à son goût ou non n'est-ce pas ? Il pourrait aussi bien aimer les gros seins qu'est ce que j'en ai à foutre ? Mais ça fait plaisir à n'importe qui de savoir qu'on est sexy n'est-ce pas ? Oui, c'est sûrement ça. « Que les grosses qui prennent trop de place ! » Oh moins nous voilà tous rassurez, Destiel n' pas de complexe mal digéré avec sa mère. Il paraît que c'est pour ça que les mecs aiment les gros seins, parce qu'ils associent ça à l'allaitement, ça les réconforte dans le fait qu'ils vont pas mourir de faim je suppose. En fait, j'en sais trop rien. J'ai pas fait psycho que voulez vous... « J'suis sûr que Selina te plairait, elle a un p'tit mordant comme toi. ! » Ok. Celle-là je l'avais pas vu venir. A peine le nom Selina atteint mon cerveau que je recrache ma bière à la gueule de Destiel, toussant comme une damné pour ne pas m'étouffer avec ma boisson. Je rêve ? Il n'a pas dit Selina ? J'ai du mal comprendre. Ouais, c'est ça, la fille qu'il vient juste de rencontrer s'appelle en fait Selma ou Sandra ou je sais pas moi, n'importe quoi sauf Selina. ÇA NE PEUT PAS ÊTRE SELINA ! Je déglutie discrètement essayant du mieux que je peux de reprendre contenance. « Selina ? » oui j'attends une confirmation. Soyons honnête, j'attends plutôt l'inverse en fait, j'attends qu'il me dise que j'ai mal entendu. Mais au fond de moi je sais parfaitement que j'ai parfaitement compris. Charlie, Dean et maintenant Destiel, pourquoi serais-je même surprise qu'elle lui mette le grappin dessus à lui aussi ? A croire que cette fille a décidé de s’incruster dans tout ce qui fait ma vie. Salope. « Grande, blonde ? » je résiste à l'envie de dire insupportable. « Tu crois vraiment que c'est le genre de fille qui pourrait m'intéresser ? » Je beau faire de mon mieux, je ne peux empêcher ma voix de laisser transparaître une pointe de mépris. « C'est ça ton type de fille ?» C'est plus fort que moi. Je détourne la tête et me mets sur le ventre, reprenant une gorgé de bière attrapant ma manette pour relancer le jeu. Je sens que je vais m'énerver. Il vaut mieux changer de sujet de discussion. Voila, une nouvelle partie où je pourrais taper sur son avatar virtuel histoire de me défouler et tout ira bien.

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Je sais que je fais beaucoup d'effet, oui on me l'a dit, bon certes c'était avant, mais soyons franc ! Je ne suis pas désagréable comme mec. J'ai pas mal de défaut, mais j'ai un cul qui en jette ! C'est une menteuse, celle qui dira le contraire. Je sais que je suis un sac d'os, mais ça ce n'est pas ma faute. Je n'ai pas d'appétit, et le truc qui est à l'intérieur de moi, bouffe pour je sais pas combien et me tue à petit feu. Je me demande même comment je fais pour être encore en vie. Ah ah ah ! Même dans mes pensées j'arrive à me faire rire, y a pas à dire, je suis un génie ! Non, mais sans déconner, je sais que j'ai déjà fait jouir pas mal de filles. Mais là ! Là c'est la première fois que je me prends du jus de bière à la gueule ! Il faut bien une première fois à tout. Je m'attendais pas à ça et encore moins aujourd'hui ! Il suffit que je dise que j'arrête les filles, enfin que je fasse un break pour qu'elles se ramènent et me sautent dessus. Bon j'avoue que là, je prends un peu mes rêves pour la réalité, m'enfin bon, y a pas de mal à se faire du bien ! Là où y d'la gêne, y a du plaisir ! Et ouais ! Revenons à nos petits moutons. J'en étais où déjà ? Ah oui ! Les filles ! Je sais que je plais, je fais mon petit effet dirons nous ! Seulement là, je ne m'attendais, absolument pas à cette réaction. Je dois vraiment lui faire de l'effet, mais bon gâcher de la bière ? Franchement ! Je cligne des yeux un instant, je crois que j'ai un ou deux sourcils qui sont collés ! Et bah c'est bien ma veine ! Manquez plus que ça. Et puis ça colle ce truc, je sens mes joues gonflés ! Y a mieux comme truc. Franchement. Je passe ma main sur mon visage, qui dit « merci » au passage. Je m'abstiens de commentaire, parce que là franchement … je ne sais pas quoi dire ! « Selina ? » Quoi Selina ? Elle a pas compris ou quoi ? J'sais que j'ai une mémoire à courte terme, surtout en matière de prénom, mais là ! Là j'ai bon ! Fin j'crois ! Elle va me foutre le doute, la garce. « Grande, blonde ? »  Je hoche la tête en prenant une gorgée de ma bière. Y a pas trente six milles Selina en ville, fin pas à ma connaissance. Surtout pas de son espèce. Ah mais ...« Tu crois vraiment que c'est le genre de fille qui pourrait m'intéresser ? »  Elle a l'air remonté ! Je ne comprends pas pourquoi, en même temps nous parlons de Sam ! Le jour ou je comprendrais ce qui se passe dans sa tête et bien nous sommes dans la merde. Puisque ce jour n'est pas prêt d'arriver. Je capture le moment. Elle est en train de perdre la tête. « J'savais pas qu'tu la connaissais ! » Pendant qu'elle me laisse un moment de sursit, j'arrive à placer un mot. « C'est ça ton type de fille ?» Je la regarde s'exciter sur la manette ! Là j'ai pas tout compris. C'est qu'en plus elle joue toute seule. Et va falloir qu'elle se calme la chieuse ! Un chouilla au moins. Bon je joue un peu avec elle, histoire de lui donner matière à s'énerver. Si ça peut la calmer, je ne dis pas non. Et voilà, elle gagne encore. « Bon tu m'expliques ? En quoi c'est « ça » mon type de fille ? » J’accentue bien sur ça, non parce qu'avec elle, on ne sait jamais ! « Puis d'où tu la connais ? Elle est classe hein ! Fin je lui ai parlé vite fait la dernière fois, on a fumé un joint ensemble. Rien d'plus ! Ouais bon j'dis pas qu'elle a repris contact avec moi ! Elle v'nue me voir la dernière fois, mais rien d'bien concluant ! » J'attrape ma clope et la dépose sur mes lèvres. Bon sang que ça fait du bien. Oui bon je n'ai pas fumé depuis … vingt minutes, mais j'ai besoin de plus ! Je l'entends marmonner à côté d'moi ! « Puis xcuse moi mais comment j'peux savoir quel genre de fille peut t'intéresser ? Y a encore dix minutes j'savais pas que tu étais de ce bord ! Donc hein ! Va pas te plaindre ! » Ouais je sais que bon hein ! Non mais faut pas pousser mémé dans les orties ! Bien que mémé dans l'âge de glace est trop badass ! Moi je veux une mémé comme ça, manque de bol, j'ai l'droit à rien. Juste une famille archi chiante et qui ne sert à rien, mais alors strictement à rien. Je me demande bien ce que j'ai en commun avec eux.. RIEN ! Fin bref, on change de pensée. « Et sinon tu la trouves comment ? Elle est pas mal non ? Fin j'crois qu'elle a un mec, fin j'en sais rien en fait ! Elle m'a pas trop parlé d'sa vie amoureuse, on a pas trop eu l'temps si tu vois c'que j'veux dire ! » Petit clin d'oeil de passage ! Bien sûr qu'elle voit ce que je veux dire, quand je fume je n'ai le temps de rien faire d'autre ! Puis bon moi sa vie amoureuse je m'en tamponne le coquillage ! Elle peut très bien sortir avec blond, qu'une rousse ou un chien ! Je m'en fous ! Elle est cool, elle vient me prendre de la weeds de temps en temps et puis voilà ! Elle cherche pas les embrouilles. Et puis elle sait, donc bon … Si je garde pas les gens au courant près de moi, je suis dans la merde. Ceci dit je suis moi même au courant pour son père, donc nous sommes dans le mensonge ensemble et tout va bien !

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