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| | James • I'm bulletproof, nothing to lose | |
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James I. Davenport ☞ TON RÊVE ? : Reconquérir une certaine blonde ☞ A SPRINGARDEN DEPUIS : 02/02/2015 ☞ CONNERIES : 97
| Sujet: James • I'm bulletproof, nothing to lose Lun 2 Fév - 23:21 | |
| James Ian Davenport ❝ petite citation petite citation petite citation petite citation ❞ ouvert ✗ sociable ✗ impulsif ✗ passionné ✗ protecteur ✗ borné ✗ loyal ✗ optimiste ✗ curieux ✗ rationnel ✗ peu bavard ✗ stable ✗ franc ✗ cultivé ✗ attentif ✗ fier ✗ déterminé ✗ généreux ✗ doué pour la cuisine ✗ aimant | Critique gastronomique et auteur Hanging Up My Travelin' Shoes | Que penses-tu de Spring Garden ? Je sais que tu n'es pas là sans raison, il y a bien quelque chose ou quelqu'un qui te plaît ici, non? Spring Garden, c’est cette petite ville perdue dans le nord de l’Alabama où Anniston a décidée de s’exiler. Une ville dont il n’avait jusqu’alors jamais entendu parler. Et étant donné qu’il vient à peine d’arriver, James n’a pas encore véritablement eu l’occasion de se faire une idée, cela dit, la ville lui paraît sympathique. Si tu devais organiser une soirée, tu opterais pour laquelle ? J'ai toujours aimé celle de Thanksgiving, la dinde, le feu de cheminé, l'automne. C'est l'une des saisons que je préfère, Spring Garden est magique en automne. Les fêtes sont souvent l’occasion de se retrouver en famille autour d’un bon repas. Pour James, c’est synonyme de partage autour d’une table, et pour lui qui adore la cuisine et cuisiner, il n’y a pas de moment particulier pour ça, ça peut être n’importe quand. Parce qu’il n’y a pas besoin d’occasion particulière pour inviter les gens qu’on aime à se retrouver. Mais si vraiment il devait en choisir une, ce serait sans doute Thanksgiving. Tout le monde a un rêve, tout le monde vise quelque chose. Certains ont réussi à accéder à leur premier rêve, du coup ils s'en découvrent d'autres. Mais avoir un rêve, c'est bien, le tiens c'est quoi ? Sa vie personnelle est partie en lambeaux tandis que sa vie professionnelle est épanouie. Alors à l’heure actuelle, son rêve le plus cher est de retrouver la femme qu’il aime, de rattraper ce qui peut l’être et de la reconquérir surtout. Parce que bon sang, n’a-t-il pas le droit d’être heureux aussi ? who you really are pseudo/prénom ✗ Lily. âge ✗ 28 ans. pays/région ✗ Le pays des cigognes. comment as-tu connu le forum ? ✗ Anniston m’a pervertie. fréquence de connexion ✗ Probablement tous les jours. es-tu un scénario ? (si oui, mettre le nom du créateur) ✗ Non. comment trouves-tu le forum ? ✗ Superbe. une idée pour l'améliorer ? ✗ Là tout de suite ? Non. un dernier mot ? ✗ Pouet. crédits ✗ Avatar © .sparkles.
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<pris>✗</pris> jake gyllenhaal ><span class="caractère">james i. davenport</span>
Dernière édition par James I. Davenport le Mar 3 Fév - 19:58, édité 2 fois |
| | | James I. Davenport ☞ TON RÊVE ? : Reconquérir une certaine blonde ☞ A SPRINGARDEN DEPUIS : 02/02/2015 ☞ CONNERIES : 97
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Lun 2 Fév - 23:22 | |
| we all have a story to tell ❝ petite citation petite citation petite citation petite citation ❞ Charlie Chaplin once entered a Charlie Chaplin look-alike contest in Monte Carlo and came in third, that’s a story. Une délicieuse odeur d’épices, des embruns de cuisine, la générosité et l’amour qu’on ressentait avec une seule bouchée. Voilà plus ou moins ses premiers souvenirs d’enfant, quand haut comme trois pommes, James observait avec sa sœur, leur mère s’afférer dans sa cuisine. Le tintement des casseroles était devenu familier à ses oreilles, et ses yeux brillaient d’admiration devant cette femme douce qui gouvernait pourtant cette pièce de la maison d’une main de fer. Le premier qui tentait de toucher un fouet ou une casserole se prenait rapidement un coup de cuillère en bois sur les doigts et récoltait un regard menaçant de Grace Davenport. La cuisine était son domaine et personne n’avait le droit de la remplacer derrière ses fourneaux. Sa cuisine était authentique, généreuse, et familiale, et chaque résident de la pension de famille qu’elle dirigeait avec la même poigne, savait apprécier à sa juste valeur les mets qu’elle servait à sa table. La maison des Davenport, une grande maison coloniale héritée par Charles, son mari, avait été transformée en pension de famille très rapidement en grande partie pour permettre de payer l’entretien de celle-ci et éviter de la perdre. D’aussi loin qu’il s’en souvienne, James avait toujours vécu avec beaucoup de monde autour de lui. Des gens de passage, d’autres qui restaient plusieurs mois, plusieurs années. C’était comme avoir une grande famille, venue des quatre coins du pays, voire du monde. Tout le monde vivait ensemble, chaque repas ressemblait à un dîner de famille nombreuse, et chacun à sa manière apportait un petit bout de soi. Il y gagna en ouverture d’esprit, et sociabilité. Il n’était pas forcément très bavard, mais il aimait écouter, observer, découvrir, et parfois c’était simplement ce que les autres attendaient. Quelqu’un qui les écoute, qui apprécie leurs récits de vie ou de voyage…
James pouvait être défini par deux passions. La cuisine et l’écriture. Grace remarqua très tôt l’intérêt de son fils pour l’art culinaire, et quand il fut en âge d’apprendre, il fut le seul qu’elle autorisait à l’assister. Elle lui apprit tout, de comment éplucher les légumes, les découper correctement, aux meilleurs mélanges d’épices et d’aromates pour relever le goût de ses plats. Appliqué, intéressé, il emmagasinait chaque leçon, tentait de se souvenir de chaque geste, noircissait des pages et des pages de ses cahiers avec les recettes de sa mère qui pour sa part n’avait jamais eu besoin de les écrire. Sa sœur, Lauren, n’avait jamais été très intéressée par tout ça, préférant occuper son temps libre à jouer du saxophone et du piano. La maison n’était jamais silencieuse, quand ce n’était pas de la musique qui s’échappait du vieux gramophone, c’était Lauren qui s’entraînait, à moins qu’on n’entende une conversation animée entre deux pensionnaires ou des éclats de rire sous le porche. La bonne humeur était le maître mot chez les Davenport, et même le patriarche parfois bourru donnait de la voix et riait parfois à gorge déployée. Les années passèrent, trop vite au goût de Grace, qui voyait grandir ses enfants bien trop tôt à son goût. Elle était une mère poule qui aurait préféré les garder sous son giron longtemps encore, les protéger contre la cruauté du monde dans lequel ils évoluaient. Chose impossible, mais James et Lauren ne s’en sortaient pas trop mal pour autant. Bons élèves tous les deux, l’une avait l’oreille musicale et visait le conservatoire, pendant que l’autre passait ses journées le nez dans des bouquins quand il ne gribouillait pas des essais et des nouvelles sur des feuilles volantes au milieu de la nuit.
Un sourire, un regard, et un coup de foudre. Il avait fallu ça pour le faire sortir de ses bouquins et lâcher son stylo à l’âge de dix-sept ans. Elle était jolie comme un cœur, de belles boucles brunes encadraient son visage poupins aux joues rosées, et ses yeux bleus intenses semblaient sonder son âme. Elle s’appelait Hope et venait d’arriver de Bâton Rouge, transférée dans sa classe en cours d’année. Elle avait un sourire timide et restait en retrait, mais il en aurait fallu plus pour le décourager. Il la croisa à la bibliothèque, lui proposa de partager sa table et entama la conversation. Il lui parla du lycée, des coins à découvrir, de Nola qu’il aimait tant, de son goût pour la cuisine et de sa sœur musicienne, la questionnant sur elle aussi, d’où elle venait, qu’est-ce qu’elle aimait… Plus les minutes passaient et plus il la voyait se détendre, au point qu’ils devinrent trop bruyants et furent chassés de ce temple de silence. Etre avec Hope devint comme une évidence, et James passait tout son temps libre avec elle. S’il avait déjà eu quelques petites amies, ce fut néanmoins sa première histoire d’amour, sa première histoire sérieuse. Contrairement à beaucoup d’autres, la fin du lycée ne signifia pas la fin de leur couple.
Au moment de choisir quoi faire de sa vie, James avait longuement hésité. Se lancer dans des études pour devenir chef, ou poursuivre des études de lettres ? Le choix ne fut pas aisé, mais il préféra les lettres, s’engageant dans des études de journalisme. La cuisine resterait une passion, un plaisir qu’il s’octroyait dès qu’il avait le temps. Il adorait toujours cuisiner avec sa mère et profitait des dimanche en famille pour le faire. Sa vie semblait bien lancée, son avenir tout tracé, peut-être que dans quelques années, quand ils auraient terminé leurs études, et s’ils étaient toujours ensemble, il demanderait à Hope de l’épouser. Pour l’heure ils étaient tous deux inscrits à Tulane, dans des départements différents et vivaient ensemble, dans un petit appartement, et c’était suffisant. Ils étaient jeunes, ils avaient le temps. La vie cela dit est toujours pleine de surprises, et ils l’apprirent l’année de leurs vingt ans. C’était fou comme deux barres sur un bout de plastique pouvait changer une vie. Deux vies. L’annonce de la grossesse de Hope provoqua un cataclysme dans la famille de la jeune femme, plus que chez les Davenport. Ils étaient ultra conservateurs et avaient déjà grimacé à l’idée que leur unique fille s’installe avec son petit ami. Là c’était la goutte d’eau qui faisait déborder le vase. Pourtant, James n’était pas du genre à fuir ses responsabilités, et pour calmer les tensions et éviter un « scandale », ils officialisèrent leur situation. Un mariage rapide, intime mais non dénué d’amour.
Tout aurait pu continuer tranquillement, l’idée d’avoir un enfant, si elle ne l’avait jamais effleurée jusque là, ne l’effrayait finalement pas tant que ça. Certes, il leur faudrait s’adapter, c’était un bouleversement important dans leurs vies, et ils n’étaient encore qu’étudiants tous les deux, mais James avait le sentiment qu’ils y arriveraient. Un optimiste dans l’âme, voilà ce qu’il était. Quelques semaines après, la vie lui apprit une nouvelle fois que rien n’était acquis. Hope fit une fausse-couche avant la fin du premier trimestre, et les plans qu’ils avaient commencé à faire au sujet du bébé s’effondraient en même temps que leurs cœurs se brisèrent. Il ne le remarqua pas tout de suite, mais cet évènement fut plus difficile encore à accepter pour Hope. Ils poursuivaient leurs études, mais Hope s’arrêta après son Bachelor Degree en arts appliqués. Elle était peintre et avait finalement décidé de se consacrer à son art. Lui travaillait à côté tout en poursuivant son cursus, il fallait bien manger et payer le loyer, et malgré le talent de sa femme, on ne pouvait pas dire que ses toiles se vendaient bien. Ce n’est qu’après avoir obtenu son master qu’ils reparlèrent de l’idée d’avoir des enfants, d’essayer à nouveau. En 2004, Hope tomba à nouveau enceinte alors qu’il avait trouvé un travail comme chroniqueur au Times-Picayune, le quotidien de la ville croissant, mais la jeune femme perdit à nouveau le bébé. Ce deuxième échec fut un coup dur pour elle, et James remarqua bien vite qu’elle sombrait peu à peu dans une triste mélancolie. Il se voulait positif, mais les sourires de sa femme se faisaient petit à petit plus vagues et elle s’enfermait des journées entières dans son atelier pour peindre. Quand l’année suivante, elle perdit encore un enfant, la culpabilité commença à la ronger, et rien de ce qu’il pouvait dire ne semblait la soulager. Elle lui échappait. Elle était toujours là physiquement, mais sans être vraiment avec lui. Seule sa vie professionnelle semblait toujours en plein essor, en plus des ses chroniques, il avait sortit un premier livre sur l’art de vivre Louisianais qui avait eu son petit succès.
Katrina fut un nouveau chamboulement dans leur vie. Ils durent fuir Nola précipitamment et se réfugièrent plus au nord à Bâton Rouge où Hope avait encore de la famille. L’ouragan avait endommagé la pension de famille des Davenport, et si la maison était toujours debout, elle était en bien piteux état. Il faudra près de trois ans à ses parents pour rendre à la demeure son cachet d’antan. Ces évènements combinés firent tanguer son couple. Il ne savait plus comment s’y prendre avec Hope, et n’était même plus sûr d’avoir envie de faire des efforts, puisque quoi qu’il fasse, ça ne servait à rien. Ils s’éloignèrent petit à petit, mois après mois, vivant sous le même toit, sans être véritablement ensemble.
Soucieux de mettre en valeur l’héritage de sa mère, sa cuisine, et dans l’optique de gagner assez pour aider financièrement ses parents à retaper la pension, James se mit à écrire un livre de recettes qui, au moment de sa publication, devint un best seller. C’est d’ailleurs un peu grâce à ça qu’il devint critique gastronomique. Il trouva ainsi le moyen de combiner ses deux passions. De restaurant en restaurant, chacun de ses papiers devenait de plus en plus attendu dans les colonnes du magazine spécialisé pour lequel il écrivait, les lecteurs appréciant semble-t-il sa plume autant que son avis franc sur les établissements qu’il avait visité. A côté de ça il poursuivait ses projets d’ouvrages sur la cuisine cajun ou la vie en Louisiane en général.
C’est en 2009 qu’il la rencontra. Elle, l’autre, la jolie blonde aux yeux verts, Anniston, Annie. Chef d’un restaurant dont la réputation avait fini par atteindre ses oreilles, James avait voulu voir ce que Chez DeSautel avait dans le ventre. Il se souvenait avoir déjà dîné dans ce même restaurant, des années plus tôt, avec sa femme. A l’époque, l’établissement était différent et portait le nom de Chez Antoine. Mais il se souvenait qu’ils y avaient passé une très bonne soirée. Il fut étonné de découvrir le chef au milieu des clients, et de la voir servir elle-même l’une des tables. Son expérience chez DeSautel fut exceptionnelle, et la cuisine du chef lui rappelait celle de sa propre mère, authentique et généreuse, tout en sachant jouer la carte de l’inventivité. Autant dire que les quelques notes qu’il avait pris ce jour là, en dégustant les trois plats qu’il avait commandé, fuirent élogieuses. Ce n’est qu’après avoir terminé son repas qu’il demanda à parler au chef et expliqua qui il était à la jeune femme. Par la suite, et contrairement à ses habitudes, il revint au restaurant. D’abord pour lui faire lire son papier – élogieux - avant de l’envoyer à la publication, puis simplement pour le plaisir de ses papilles, et de ses yeux. Anniston avait sans le vouloir su le charmer, et si jamais jusqu’alors il n’avait envisagé de tromper sa femme, malgré l’échec évident de leur mariage - Hope refusait à présent même qu’il la touche -, il en venait à reconsidérer toutes ses convictions pour ses beaux yeux. L’alliance qui ornait son annulaire restait tout de même un frein et il se jura de ne jamais franchir cette ligne invisible séparant l’amitié de l’amour. Il s’était cependant voilé la face. Au fil des mois, et malgré cela – Anniston était parfaitement au courant qu’il était marié, et il lui avait parlé de ses problèmes de couple – leur relation glissa finalement vers quelque chose de différent. D’amis passionnés de cuisine, ils étaient devenus amants.
James avait été décidé à quitter Hope. Leur mariage ne rimait plus à rien, mais il avait encore de la tendresse et une profonde amitié pour elle. Assez pour ne pas lui faire subir plus longtemps cette mascarade. Seulement le jour où il était rentré chez lui, décidé à tout lui avouer et à lui dire qu’il la quittait, il l’avait trouvée allongée inconsciente sur le lit, un flacon de barbituriques vide au sol à côté d’elle. Un lavage d’estomac plus tard et elle fut hors de danger, mais le fait qu’elle ait fait une tentative de suicide lui fit reconsidérer sa décision. Il savait Hope fragile, sujette à la dépression, mais il n’aurait jamais cru qu’elle irait si loin, d’ailleurs elle avait semblé aller mieux les jours précédents. Et c’est ainsi qu’il tomba dans un engrenage dont il n’arriva plus à sortir. Incapable de quitter sa femme, de peur qu’elle ne le supporte pas, il vivait une double vie avec Anniston. Et même si c’était plutôt bancale, ça fonctionna pendant près de quatre ans. Les choses cependant, finirent immanquablement par se compliquer. Tandis que Hope faisait des crises de paranoïa de plus en plus fréquentes, l’accusant – à raison – d’avoir une autre femme dans sa vie et le menaçant de se suicider si jamais il lui prenait l’idée de la quitter, Anniston elle, supportait de plus en plus difficilement la situation. Les disputes parfois violentes remplacèrent finalement les étreintes passionnées. Poussé à bout, acculé des deux côtés par les deux femmes, il avait de plus en plus souvent des réactions brusques et violentes. Le summum fut atteint quand il fracassa une chaise au sol dans un accès de colère, provoquant la fuite effrayée de la blonde et une vague de culpabilité chez lui.
Quelques jours plus tard, en août dernier, alors qu’il n’avait pas réussi à la joindre depuis plusieurs jours, James se décida à chercher Anniston dans son restaurant. Le ciel lui tomba sur la tête quand il découvrit le mot laissé au milieu de la cuisine. Deux mots et une lettre. Je pars. A. Il savait que le restaurant avait des difficultés financières, qu’elle ramait depuis des mois pour le maintenir à flot, mais elle ne lui avait jamais parlé de ses projets de vente. C’était pourtant ce qu’elle avait fait. Elle avait vendu, plié bagage et était partie. Comme ça, en un claquement de doigt, elle avait décidé de sortir de sa vie et de le rayer de la sienne. Mais ça, il ne pouvait pas l’accepter. Il l’aimait à en crever, même s’il avait bien conscience qu’il n’avait pas été très doué pour le lui montrer. Il ne pouvait pas la perdre, il ne voulait pas surtout.
Il avait donc commencé par reprendre sa vie personnelle en main. Malgré les menaces de sa femme, il avait fini par quitter pour de bon le domicile conjugal et avait pendant un temps trouvé refuge à la pension de famille. Ses parents, comme Lauren, étaient de son avis, il ne pouvait plus continuer à vivre en imaginant le pire concernant Hope, selon eux, il avait pris la bonne décision. Il ne leur avait pas parlé d’Anniston, mais ne cessait pour autant pas de penser à la jeune femme. Il la chercha partout, à la Nouvelle-Orléans, à Bâton Rouge même où il savait que sa sœur était installée. Il envisagea de demander directement à sa mère, même si cette dernière ne le connaissait pas personnellement et n’avait – de ce qu’il en savait – jamais approuvé leur relation. Des semaines, des mois, il l’avait cherchée, sans succès. Jusqu’au jour où, comme par miracle, il était tombé sur un visage qu’il avait eu l’habitude de voir graviter autour de la blonde. L’une des anciennes serveuses de Chez DeSautel. Alors il avait tenté sa chance, demandé si elle savait où était passée son ancienne patronne. La jeune femme avait été réticente à lui répondre au début, mais avait fini par le faire. Spring Garden, Alabama. Pas étonnant qu’il ne l’ai pas retrouvée, il n’aurait jamais eu l’idée de la chercher en Alabama. Le temps de s’organiser avec son travail – l’avantage étant qu’il pouvait travailler partout et envoyer ses critiques par mail – et de régler quelques détails concernant son divorce et il prit sa voiture et partit en direction de Spring Garden. Une journée de route harassante pour trouver ce petit coin perdu d'Alabama. Il n’a aucune idée de ce qu’il pourra bien lui dire quand il la reverra, mais ce dont il est sûr, c’est qu’il ne peut pas laisser cette histoire se terminer ainsi…
Dernière édition par James I. Davenport le Mer 4 Fév - 13:31, édité 5 fois |
| | | Joy Wallace
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Lun 2 Fév - 23:24 | |
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| | | Sam White ☞ TON RÊVE ? : Me barrer d'ici. Voyager. Voir le monde. ☞ A SPRINGARDEN DEPUIS : 01/02/2015 ☞ CONNERIES : 358
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Lun 2 Fév - 23:27 | |
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| | | Anniston E. DeSautel ☞ TON RÊVE ? : ouvrir mon propre restaurant, une vie calme... tellement de choses... ☞ A SPRINGARDEN DEPUIS : 02/02/2015 ☞ CONNERIES : 106
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Lun 2 Fév - 23:30 | |
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| | | Joy Wallace
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Lun 2 Fév - 23:31 | |
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| | | James I. Davenport ☞ TON RÊVE ? : Reconquérir une certaine blonde ☞ A SPRINGARDEN DEPUIS : 02/02/2015 ☞ CONNERIES : 97
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Lun 2 Fév - 23:34 | |
| Jake c'est mon Dieu Je suis contente que l'avatar plaise en tous cas Merci de votre accueil incroyable ! Je bosserai sur ma fiche demain Annie chériiiiie |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Lun 2 Fév - 23:35 | |
| jake est juste omfgoshilesttropsexyyyyyyyy bienvenue |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Mar 3 Fév - 0:34 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Mar 3 Fév - 8:57 | |
| bienvenu parmi nous et bon courage pour ta fiche ♥ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Mar 3 Fév - 11:26 | |
| Je rejoins mes voisines du dessus. Jake est tout simplement parfait Bienvenue |
| | | James I. Davenport ☞ TON RÊVE ? : Reconquérir une certaine blonde ☞ A SPRINGARDEN DEPUIS : 02/02/2015 ☞ CONNERIES : 97
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Mar 3 Fév - 20:04 | |
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| | | Anniston E. DeSautel ☞ TON RÊVE ? : ouvrir mon propre restaurant, une vie calme... tellement de choses... ☞ A SPRINGARDEN DEPUIS : 02/02/2015 ☞ CONNERIES : 106
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Mar 3 Fév - 20:55 | |
| Olalala comme je t'aime!!!!!! Elle est parfaite cette fiche! Ce personnage c'est de la bombe!!!! |
| | | Joy Wallace
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Mar 3 Fév - 21:00 | |
| J'ai adoré lire ta fiche, tu as une très belle plume, très fluide, non franchement, j'ai rien à redire ! Alors, évidemment, je te valide ! Bon jeu parmi nous ♥ welcome home Félicitation, tu es validé(e) ! Maintenant que tu as rejoint l’aventure, tu vas pouvoir faire évoluer ton personnage parmi nous, à Spring Garden. Mais avant tout, il y a quelques étapes par lesquelles tu dois d’abord passer. En effet, à moins que tu ne sois à la rue, tu vas avoir besoin d’un logement, et c’est par ici que ça se passe ; n’oublie pas non-plus de venir recenser ton métier (ou tes études) dans ce sujet. Aussi, pour que les autres puissent venir te demander des liens, pense donc à créer ta fiche de relations. Bien évidemment, tu peux également créer tes propres scénarios -n’oublie pas de les recenser dans le sujet adéquat-, ou ta propre famille. Mais surtout, amuse-toi ! Et si tu as le moindre problème, le staff est à ta disposition. Bon jeu parmi nous !
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| | | James I. Davenport ☞ TON RÊVE ? : Reconquérir une certaine blonde ☞ A SPRINGARDEN DEPUIS : 02/02/2015 ☞ CONNERIES : 97
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Mar 3 Fév - 21:11 | |
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| | | Declan Shurley ☞ TON RÊVE ? : d'venir danseuse étoile... c'est quoi c'te question? ☞ A SPRINGARDEN DEPUIS : 07/01/2015 ☞ CONNERIES : 679
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Mar 3 Fév - 21:29 | |
| J'suis trop en retard dans mes bienvenues, ça va pas du tout! J'arrive, t'es déjà validé. Ouais, je boude! Nan plus sérieusement, bienvenue parmi nous. Quel choix de fou que tu nous a fait là, Jake est juste ORGASMIQUE! Je vais lire ta fiche (ce que je n'ai pas encore fait, faute de temps... ), et je viendrai te réclamer un lien, obligé! |
| | | James I. Davenport ☞ TON RÊVE ? : Reconquérir une certaine blonde ☞ A SPRINGARDEN DEPUIS : 02/02/2015 ☞ CONNERIES : 97
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose Mar 3 Fév - 22:12 | |
| Merci Et sans souci pour le lien, avec plaisir |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: James • I'm bulletproof, nothing to lose | |
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| | | | James • I'm bulletproof, nothing to lose | |
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